BCE annonce ses résultats du premier trimestre de 2011
Augmentation du dividende sur actions ordinaires de 5 % à 2,07 $ par exercice
Révision à la hausse de l'orientation financière pour 2011
- Solide résultat net attribuable aux actionnaires ordinaires de 543 millions $ et RPA ajusté de 0,72 $ par action, en hausse de 18 %
- Progression de 1,0 % des produits des activités ordinaires de Bell découlant de la croissance de 1,8 % des produits tirés des services et croissance de 6,4 % du BAIIA(1), soit la meilleure performance de Bell depuis plus de 8 exercices
- Hausse de 9,2 % des produits opérationnels du secteur Services sans fil de Bell, hausse de 12,2 % du BAIIA et augmentation de plus de 40 % des marges du BAIIA
- Les services sans fil postpayés ont enregistré la plus forte progression du marché, avec des ajouts nets de 80 648, les téléphones intelligents représentent 55 % des activations brutes des services postpayés et Bell lancera un réseau sans fil ELT de prochaine génération dans certains marchés au cours de l'exercice
- Croissance de 4 % du BAIIA du secteur Services sur fil de Bell découlant du contrôle serré des coûts, consolidation de l'emprise des services Télé Fibe et Internet Fibe et augmentation du PMU dans tous les services résidentiels
Ce communiqué de presse contient des déclarations prospectives. Pour une description des facteurs de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section intitulée Mise en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans le communiqué.
MONTRéAL, le 12 mai 2011 -- BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications au Canada, a présenté aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour le premier trimestre de 2011 conformément aux Normes internationales d'information financière (IFRS) et annoncé une augmentation de 5 % de son dividende annuel sur actions ordinaires ainsi que la révision à la hausse de l'orientation financière pour 2011.
BCE a réalisé une solide performance financière avec un résultat net attribuable aux actionnaires ordinaires de 503 millions $. Le résultat net attribuable aux actionnaires ordinaires au premier trimestre de 2010, d'un montant de 706 millions $, inclut les profits sur la vente d'actifs et autres d'un montant de 272 millions $. Bell a enregistré une augmentation de 1,0 % de ses produits des activités ordinaires, attribuable à l'amélioration de 1,8 % des produits tirés des services, ce qui reflète la forte progression, de 7,5 % et de 9,2 %, respectivement, des produits tirés des services de télévision et des services sans fil, la croissance globale de 6,4 % du BAIIA, soit le taux le plus élevé dans le secteur, la croissance de 12,2 % du BAIIA dans les services sans fil ainsi que des ajouts nets d'abonnés des services postpayés dans le sans-fil de 80 648, le niveau le plus élevé parmi les entreprises de télécommunications titulaires au Canada.
« Bell a enregistré la meilleure performance dans le marché des services sans fil, une forte croissance des produits tirés des services Internet sur fil et de télévision et une croissance exceptionnelle du BAIIA - le taux le plus élevé du secteur à ce chapitre et le meilleur taux de croissance du BAIIA de Bell depuis plus de 8 exercices », affirme George Cope, président et chef de la direction de Bell Canada et de BCE. « Ces résultats mettent en relief les efforts que l'équipe de Bell a continué de déployer à l'égard de l'exécution de nos cinq impératifs stratégiques, en tirant parti de nos investissements dans le réseau large bande avec des services de télévision, Internet et de téléphonie mobile de premier plan, tout en assurant un contrôle rigoureux et constant sur les coûts - ce qui comprend la réduction de 90 millions $ des coûts opérationnels dans le sur-fil d'un exercice à l'autre. »
« Nous avons également mené à bien l'acquisition de CTV avec un trimestre d'avance sur le calendrier, ce qui permet d'appuyer l'orientation financière de 2011 révisée à la hausse et l'augmentation de 5 % du dividende que nous annonçons aujourd'hui. L'augmentation, qui est résolument orientée sur notre modèle de croissance des dividendes, découle de l'accroissement important attendu du résultat de CTV. Avec le lancement de la nouvelle unité d'affaires Bell Média, nous mettons rapidement à profit ces prestigieux actifs en matière de contenu en offrant une programmation plus étoffée pour le service Télé mobile de Bell et le service Bell Télé en ligne et en lançant TSN Radio », souligne M. Cope. Bell a également annoncé aujourd'hui que le ratio cours/bénéfice de la transaction de CTV s'est amélioré pour s'établir à un multiple du BAIIA proportionnel des douze derniers mois de 8,2 à la clôture, comparativement à un multiple de 9,6 au moment de l'annonce de la transaction.
L'annonce d'aujourd'hui est la sixième augmentation du dividende annuel sur actions ordinaires de BCE, ce qui représente une augmentation de 42 % depuis le quatrième trimestre de 2008. Il s'agit de la deuxième augmentation de l'exercice. Le dividende annuel sur actions ordinaires de BCE augmentera de 5 % à 2,07 $ l'action, à compter du dividende du deuxième trimestre de 2011 de BCE payable le 15 juillet 2011 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 15 juin 2011. L'augmentation place le ratio de distribution de BCE en-deçà du milieu de la fourchette établie dans la politique de 65 % à 75 % du RPA ajusté. L'augmentation du dividende s'appuie sur l'orientation financière liée au RPA ajusté pour 2011 révisée à la hausse et sera financée sans difficulté par les flux de trésorerie disponibles, sans incidence importante sur notre solde d'encaisse attendu pour la fin de l'exercice 2011 d'environ 400 millions $ à 500 millions $.
Bell a un objectif clair, celui d'être reconnue par ses clients comme la plus grande entreprise de communications au Canada, qu'elle compte atteindre grâce à l'exécution de cinq impératifs stratégiques : améliorer le service à la clientèle, accélérer le sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, investir dans les réseaux et les services large bande et établir une structure de coûts concurrentielle.
Fort de son réseau HSPA+ d'avant-garde mondiale et de son éventail de téléphones intelligents haut de gamme, le secteur Services sans fil de Bell a recruté le plus grand nombre de nouveaux abonnés des services postpayés générant une meilleure valeur parmi les entreprises de télécommunications titulaires, ce trimestre, tout en réalisant la plus forte croissance du BAIIA parmi les entreprises titulaires du sans-fil. Les téléphones intelligents ont représenté 55 % des activations brutes au premier trimestre et leurs utilisateurs constituent aujourd'hui 34 % de la clientèle des services postpayés de Bell.
S'appuyant sur la prééminence de son réseau large bande pour services mobiles, Bell a également annoncé aujourd'hui le déploiement de la technologie sans fil LTE de prochaine génération dans certains marchés canadiens en 2011; le déploiement à l'échelle du pays dépendra de la disponibilité des nouvelles fréquences dans la bande des 700 MHz, essentielles à l'interopérabilité et à l'itinérance avec les fournisseurs ELT américains et internationaux.
Le secteur Services sur fil de Bell a également enregistré une forte croissance du BAIIA et un PMU plus élevé dans l'ensemble de ses services de télévision, Internet et de téléphonie résidentielle Bell Téléphonie, car les services Télé Fibe (maintenant disponible pour plus de 800 000 foyers) et Internet Fibe ont accéléré la pénétration des trois produits par foyer. Le secteur Services sur fil de Bell a également réussi à freiner les pertes d'abonnés résidentiels des services d'accès au réseau et à enregistrer une augmentation de 5 044 au chapitre des SAR d'affaires, ce qui a contribué au ralentissement de l'érosion des produits tirés des services voix.
« Notre performance financière ce trimestre - croissance exceptionnelle du BAIIA, solide progression des marges et niveau substantiel du résultat et des flux de trésorerie - nous a permis d'entamer 2011 de très belle façon », affirme Siim Vanaselja, chef des affaires financières de BCE et de Bell Canada. « Nous avons accéléré nos investissements stratégiques pour mettre en place les conditions propices à la performance opérationnelle future, tout en maintenant une solide position pour ce qui est du bilan afin de soutenir notre stratégie relative aux marchés financiers et de continuer de renforcer la confiance des investisseurs. Grâce à la réalisation de notre acquisition de CTV à un multiple cours/bénéfice intéressant, nous sommes en mesure d'augmenter considérablement notre orientation financière pour 2011 pour la croissance des produits des activités ordinaires, du BAIIA et du RPA ajusté, ce qui augure favorablement de la suite de l'exercice. »
Les produits opérationnels de Bell ont augmenté de 1,0 % ce trimestre, s'établissant à 3 882 millions $, la hausse des produits tirés des services sans fil et de télévision ayant plus que compensé la baisse des produits tirés des services locaux et d'accès, des services interurbains, des services de données sur fil et des équipements et autres. La croissance des produits des activités ordinaires de Bell a été moindre ce trimestre, car les produits des activités ordinaires de Bell au premier trimestre de 2010 reflétaient l'avantage non récurrent des Jeux olympiques d'hiver 2010 de Vancouver. Le BAIIA de Bell a progressé de 6,4 % pour s'établir à 1 505 millions $ ce trimestre, en raison de l'augmentation des produits des activités ordinaires et de la diminution des coûts opérationnels dans le sur-fil qui reflétaient le fait que les charges subies pour les Jeux olympiques d'hiver 2010 de Vancouver ne se sont pas répétées.
Les produits opérationnels du secteur Services sans fil de Bell ont progressé de 9,2 % ce trimestre, les produits opérationnels tirés des services ayant augmenté de 8,7 % et les produits opérationnels tirés des produits ayant augmenté de 15,1 %. Le BAIIA du secteur Services sans fil de Bell a augmenté de 12,2 % en raison de la hausse des produits opérationnels, même si les activations brutes d'abonnés des services postpayés et les mises à niveau ont augmenté d'un exercice à l'autre. Le PMU combiné a augmenté de 1,61 $ pour s'établir à 51,68 $, ce qui reflète la forte croissance, de 38 %, des produits tirés des services de données, alimentée par l'adoption et l'utilisation croissantes des téléphones intelligents.
Les produits opérationnels du secteur Services sur fil de Bell ont diminué de 2,7 %, les gains réalisés au chapitre des produits tirés des services de télévision ayant été largement contrebalancés par la diminution des produits tirés des services locaux et d'accès, des services interurbains, des services de données et des équipements et autres. Le BAIIA du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 4,0 % grâce aux réductions de coûts.
Dans le secteur Services sur fil de Bell, les pertes d'abonnés des SAR ont totalisé 59 243 ce trimestre, une amélioration de 40,7 % comparativement à l'exercice précédent. Le nombre net d'abonnés au service Internet haute vitesse a augmenté de 13 161 ce trimestre, ou de 25,7 % par rapport à l'exercice précédent. Même si l'augmentation totale des abonnés des services de télévision s'est établie à 7 663 ce trimestre, comparativement à une augmentation de 19 889 à la période correspondante de l'exercice précédent, nous avons enregistré des ajouts nets d'abonnés des services de télévision d'environ 12 000 en Ontario et au Québec, dans la foulée de la consolidation de l'emprise de notre service Bell Télé Fibe.
Bell a investi 515 millions $ ce trimestre, soit 16,8 % de plus qu'à la période correspondante de l'exercice précédent, en raison principalement du déploiement de la fibre à large bande jusqu'aux résidences et aux entreprises en Ontario et au Québec, des améliorations en cours apportées à notre réseau principal sur fil à large bande à l'appui du lancement commercial du service Bell Télé Fibe, de la croissance de la capacité des réseaux en vue de soutenir l'utilisation plus intensive des services de données Internet et sans fil, de nos investissements accrus dans le service à la clientèle afin d'améliorer les systèmes de soutien à la clientèle et les outils libre-service, ainsi que de la construction de centres d'hébergement de données.
Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles de BCE se sont établis à 734 millions $ ce trimestre, comparativement à 1 004 millions $ à la période correspondante de l'exercice précédent, du fait de l'augmentation des contributions aux régimes de retraite de Bell Aliant ainsi que des remises décrétées par le CRTC à l'égard des abonnés du service téléphonique résidentiel de Bell dans le cadre de l'utilisation du solde du compte de report de Bell. Les flux de trésorerie disponibles(2) ont diminué pour s'établir à 265 millions $ ce trimestre, comparativement à 560 millions $ l'exercice précédent, en raison de la baisse des flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles et de la hausse des dépenses d'investissement.
Le résultat net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE ce trimestre s'est chiffré à 503 millions $, ou 0,67 $ par action, comparativement à 706 millions $, ou 0,92 $ par action, au trimestre correspondant de l'exercice précédent. La diminution d'un exercice à l'autre est principalement imputable aux profits nets réalisés à la vente d'actifs non essentiels et au gain de juste valeur découlant du passif lié aux parts du fonds de Bell Aliant (la partie de Bell Aliant que BCE ne détient pas). Le RPA ajusté de BCE(3) a augmenté de 18,0 % pour s'établir à 0,72 $ en raison de l'augmentation du BAIIA, de la baisse des charges financières nettes associées aux régimes de retraite et des ajustements fiscaux supérieurs d'un exercice à l'autre par suite du règlement favorable de positions fiscales incertaines, en partie contrebalancés par l'augmentation de l'amortissement des immobilisations corporelles ainsi que des charges d'intérêts.
Faits saillants financiers | |||||
(en millions $, sauf les montants par action) (non audité) | T1 2011 | T1 2010 |
% de variation |
||
Bell (i) | |||||
Produits opérationnels | 3 882 | 3 845 | 1,0 % | ||
BAIIA | 1 505 | 1 415 | 6,4 % | ||
BCE | |||||
Produits opérationnels | 4 466 | 4 433 | 0,7 % | ||
BAIIA | 1 833 | 1 753 | 4,6 % | ||
Résultat net attribuable aux actionnaires ordinaires | 503 | 706 | (28,7) % | ||
RPA | 0,67 | 0,92 | (27,2) % | ||
RPA ajusté | 0,72 | 0,61 | 18,0 % | ||
Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles | 734 | 1 004 | (26,9) % | ||
Flux de trésorerie disponibles | 265 | 560 | (52,7) % |
(i) Bell comprend les secteurs Services sans fil de Bell et Services sur fil de Bell.
Les produits opérationnels de BCE ont augmenté de 0,7 % pour s'établir à 4 466 millions $ ce trimestre, la hausse des produits des activités ordinaires chez Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution des produits des activités ordinaires chez Bell Aliant.
Le BAIIA de BCE a augmenté de 4,6 % pour s'établir à 1 833 millions $ ce trimestre, la croissance du BAIIA chez Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution du BAIIA chez Bell Aliant.
Secteur Services sans fil de Bell
Le secteur Services sans fil de Bell a enregistré la meilleure
performance du marché en matière d'ajouts nets de services postpayés ce
trimestre, une solide croissance des produits tirés des services de
données et du PMU, une croissance du BAIIA de plus de 10 % et une
pénétration accrue des téléphones intelligents.
- Le total des produits opérationnels du secteur Services sans fil de Bell a augmenté de 9,2 % pour s'établir à 1 251 millions $ ce trimestre. Les produits tirés des services ont augmenté de 8,7 % pour s'établir à 1 145 millions $ en raison de l'augmentation de la clientèle et de la croissance de 38 % des produits opérationnels tirés des services de données sans fil. Les produits opérationnels tirés des produits ont augmenté de 15,1 % pour s'établir à 99 millions $ en raison de la hausse considérable des ventes de téléphones intelligents et du nombre accru de mises à niveau de combinés.
- Le PMU combiné a augmenté de 1,61 $ pour s'établir à 51,68 $. Le PMU des services postpayés a augmenté de 0,79 $ pour s'établir à 62,51 $ en raison de la croissance de l'utilisation des services de données, en partie contrebalancée par la diminution du PMU de la composante services téléphoniques découlant principalement des pressions de la concurrence sur les prix et du phénomène de substitution favorisant les fonctions et services de données. Le PMU des services prépayés a diminué de 1,51 $ pour s'établir à 15,36 $, ce qui s'explique en partie par la migration des abonnés des services prépayés générant une valeur élevée vers des plans de services postpayés.
- Le BAIIA du secteur Services sans fil de Bell a augmenté de 12,2 % pour s'établir à 461 millions $ ce trimestre, en raison de la hausse des produits des activités ordinaires. Les marges du BAIIA sur les produits tirés des services dans le sans-fil ont augmenté à 40,3 % ce trimestre, contre 39,0 % à l'exercice précédent.
- Les activations brutes ont totalisé 423 799 ce trimestre, soit 1,2 % de moins qu'à l'exercice précédent. Les activations brutes des services postpayés se sont établies à 299 657, soit 13,4 % de plus qu'à l'exercice précédent, malgré l'intensification de la concurrence sur le marché. Comme nous continuons de cibler les acquisitions d'abonnés des services postpayés qui génèrent une valeur plus élevée et que des nouveaux venus présentent des offres emballantes, les activations brutes d'abonnés des services prépayés ont diminué de 24,5 % pour s'établir à 124 142.
- Les téléphones intelligents ont représenté 55 % des activations brutes de services postpayés ce trimestre, comparativement à 35 % à l'exercice précédent.
- Les activations nettes de services postpayés se sont élevées à 80 648 ce trimestre, comparativement à 81 212 à l'exercice précédent. La clientèle d'abonnés des services prépayés a diminué de 75 356 ce trimestre, alors qu'elle avait diminué de 25 587 à l'exercice précédent en raison du nombre moindre d'activations brutes de services prépayés et de l'augmentation du taux de désabonnement.
- La clientèle du secteur Services sans fil de Bell totalisait 7 247 340 abonnés à la fin du trimestre, une augmentation de 5,2 % par rapport à l'exercice précédent.
- Le taux de désabonnement des services postpayés a augmenté, passant de 1,2 % à 1,4 %, tout comme le taux de désabonnement des services prépayés, qui est passé de 3,4 % à 3,7 %. Le taux de désabonnement combiné a augmenté pour s'établir à 1,9 % ce trimestre, alors qu'il était de 1,8 % à l'exercice précédent.
- Le coût d'acquisition a augmenté de 14,0 % ce trimestre, pour s'établir à 366 $ par activation brute, en raison de l'augmentation des subventions au titre des combinés et des commissions.
Secteur Services sur fil de Bell
Le secteur Services sur fil de Bell a enregistré une amélioration
continue au chapitre de l'érosion des lignes d'accès au réseau, un
nombre élevé d'activations d'abonnés des services Internet haute
vitesse, une consolidation de l'emprise du service Bell Télé Fibe et le
taux de croissance du BAIIA le plus élevé du secteur.
- Les produits opérationnels du secteur Services sur fil de Bell ont diminué de 2,7 % pour s'établir à 2 672 millions $ ce trimestre, la croissance des produits tirés des services de télévision ayant été largement contrebalancée par la diminution des produits tirés des services locaux et d'accès, des services interurbains, des services de données et des équipements et autres.
- Le BAIIA du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 4,0 % ce trimestre, pour s'établir à 1 044 millions $, en raison des réductions de coûts qui ont neutralisé la diminution des produits opérationnels.
- Les produits tirés des services locaux et d'accès ont diminué de 4,3 % pour s'établir à 729 millions $ ce trimestre, en raison de l'érosion des SAR résidentiels et d'affaires au cours de la dernière année.
- Le nombre total d'abonnés des SAR a diminué de 59 243 ce trimestre alors qu'il avait baissé de 99 829 l'exercice précédent. Le nombre d'abonnés des SAR d'affaires a augmenté de 5 044 ce trimestre alors qu'il avait diminué de 24 211 l'exercice précédent en raison de l'augmentation au chapitre des ajouts nets de clients de gros par l'entremise d'un tiers revendeur de services de lignes d'accès d'affaires. Le nombre d'abonnés des SAR résidentiels a diminué de 64 287, comparativement à une baisse de 75 618 l'exercice précédent. L'amélioration d'un exercice à l'autre au chapitre des pertes de lignes SAR résidentielles reflète la pénétration accrue des forfaits de services, stimulée par notre service Télé Fibe, nos offres concurrentielles en vue de la fidélisation de la clientèle et la reconquête d'un nombre accru de clients. Notre clientèle totale des SAR a diminué de 5,1 % d'un exercice à l'autre.
- Les produits tirés des services interurbains ont diminué de 0,8 % pour s'établir à 234 millions $ ce trimestre, ce qui reflète une amélioration marquée par rapport aux trimestres précédents, en raison de la progression des ventes de minutes de conversations interurbaines globales.
- Les produits tirés des services de données ont diminué de 5,9 % pour s'établir à 955 millions $ ce trimestre étant donné que la croissance des produits tirés des services Internet résidentiels a été largement contrebalancée par la réduction des ventes d'équipements de données et de services gérés de TIC à des grandes entreprises clientes, la diminution des produits tirés des services de données traditionnels et par le fait que les produits tirés des services à large bande IP générés au premier trimestre de 2010 dans la foulée des Jeux olympiques d'hiver 2010 de Vancouver ne se sont pas répétés cette année.
- Le nombre d'abonnés à Internet haute vitesse a augmenté de 13 161 ce trimestre, en hausse de 25,7 % par rapport aux 10 467 ajouts nets à la période correspondante de l'exercice précédent. À la fin du trimestre, Bell comptait 2 110 487 abonnés à Internet haute vitesse, soit une augmentation de 2,1 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les produits tirés des services de télévision ont augmenté de 7,5 % pour s'établir à 460 millions $ ce trimestre en raison de l'accroissement de la clientèle et de la transition des abonnés vers des blocs de programmation d'émissions dont le prix est plus élevé.
- Le nombre total d'abonnés des services de télévision a augmenté de 7 663 ce trimestre, comparativement à une augmentation de 19 889 à la période correspondante de l'exercice précédent. À la fin du trimestre, la clientèle des services de télévision totalisait 2 027 761 abonnés, soit 3,0 % de plus qu'à l'exercice précédent.
- Le taux de désabonnement de la clientèle des services de télévision a augmenté pour s'établir à 1,4 %, contre 1,1 % à l'exercice précédent.
- Les produits tirés des équipements et autres ont diminué de 3,5 % pour s'établir à 219 millions $ ce trimestre.
Bell Aliant Communications régionales
Les produits des activités ordinaires de Bell Aliant ont diminué de
1,0 % pour s'établir à 682 millions $ ce trimestre, du fait de la
diminution des produits tirés des services locaux et d'accès, des
services interurbains et des équipements et autres. Le BAIIA de Bell
Aliant a diminué de 3,0 %, pour s'établir à 328 millions $, en raison
de la baisse des produits des activités ordinaires.
Dividende sur actions ordinaires
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de
0,5175 $ par action ordinaire, payable le 15 juillet 2011 aux
actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 15 juin 2011.
Perspectives
Compte tenu de la conclusion de l'acquisition de CTV et du lancement de
Bell Média, une nouvelle unité d'affaires englobant l'ensemble de
l'entreprise de CTV, le 1er avril 2011, BCE a mis à jour son orientation financière pour 2011 comme
suit :
Orientation pour 2011 |
Publiée au 10 février 2011 |
Mise à jour au 12 mai 2011 |
Bell (i) | ||
Croissance des produits des activités ordinaires |
1 % à 2 % | 9 % à 11 % |
Croissance du BAIIA | 2 % à 4 % | 8 % à 10 % |
Intensité du capital | ~16 % | Aucun changement |
BCE | ||
RPA ajusté | 2,90 $ à 3,00 $ | 2,95 $ à 3,05 $ |
Croissance du RPA ajusté | 4 % à 8 % | 6 % à 9 % |
Flux de trésorerie disponibles | 2 200 M$ à 2 300 M$ | Aucun changement |
Croissance des flux de trésorerie disponibles (ii) |
2 % à 6 % | Aucun changement |
Dividende sur actions ordinaires | 1,97 $ | 2,07 % |
Croissance du dividende sur actions ordinaires | 7,7 % | 13,1 |
(i) | L'orientation financière de Bell pour 2011 pour les produits des activités ordinaires, le BAIIA et l'intensité du capital exclut Bell Aliant. |
(ii) | La fourchette de la croissance des flux de trésorerie disponibles exclut la cotisation volontaire de 750 millions $ au régime de retraite versée en décembre 2010. |
Conférence téléphonique à l'intention des analystes financiers
BCE tiendra une conférence téléphonique à l'intention des analystes
financiers afin de traiter de ses résultats du premier trimestre, le
jeudi 12 mai, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont invités à y
assister à titre d'auditeurs seulement. Pour participer, composez le
416-340-8530 ou le numéro sans frais 1-877-240-9772 peu de temps avant
le début de la conférence. Une reprise sera disponible pendant une
semaine, au 905-694-9451 ou au 1-800-408-3053 (composez le code
d'identification 8888557#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une webdiffusion en
direct archivée sur le site Web de BCE à l'adresse : http://www.bce.ca/investisseurs/evenements-et-presentations/tous/show/bce-q1-2011-results-conference-call. Le fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette
page, peu de temps après la conférence.
Notes
L'information contenue dans le présent communiqué est non auditée. Les
résultats financiers qui figurent dans ce communiqué de presse ont été
préparés conformément aux Normes internationales d'information
financière (IFRS).
(1) | Nous définissons le BAIIA comme les produits opérationnels moins les coûts opérationnels, tel que présenté dans les comptes consolidés de résultat. Nous utilisons le BAIIA pour évaluer la performance de nos entreprises puisqu'il reflète leur rentabilité continue. Le BAIIA est également un facteur dans la détermination de la rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des dirigeants. Le BAIIA est qualifié comme une mesure additionnelle selon les PCGR puisqu'il apparaît dans les comptes de résultat eux-mêmes. |
(2) | Le terme flux de trésorerie disponibles n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés, et les dividendes/ distributions reçus de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/distributions payés par des filiales aux actionnaires n'ayant pas le contrôle et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un important indicateur de la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour rembourser la dette et réinvestir dans notre société. Nous présentons les flux de trésorerie disponibles de manière uniforme d'une période à l'autre, ce qui nous permet de comparer notre performance financière de manière constante. Nous estimons que certains investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents. Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles et des flux de trésorerie disponibles, sur une base consolidée. |
(en millions $) | ||
T1 2011 | T1 2010 | |
Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles | 734 | 1 004 |
Distributions de Bell Aliant à BCE | 63 | 73 |
Dépenses d'investissement | (634) | (535) |
Dividendes payés sur actions privilégiées | (28) | (28) |
Dividendes payés par des filiales aux actionnaires n'ayant pas le contrôle |
(91) | - |
Coûts d'acquisition payés | 4 | 4 |
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant | 217 | 42 |
Flux de trésorerie disponibles | 265 | 560 |
(3) | Les termes résultat net ajusté et RPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons le résultat net ajusté comme le résultat net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres et les (profits nets) pertes nettes sur placements. Pour 2010, le résultat net ajusté exclut par ailleurs les ajustements à la juste valeur du passif lié aux parts du fonds, et comprend un ajustement au résultat pour tenir compte de l'intérêt sur le passif lié aux parts du fonds à titre de participation ne donnant pas le contrôle. Nous définissons le RPA ajusté comme le résultat net ajusté par action ordinaire de BCE Inc. Nous utilisons le résultat net ajusté et le RPA ajusté, entre autres mesures, pour évaluer la performance opérationnelle de nos activités permanentes, avant l'incidence après impôt et de la participation ne donnant pas le contrôle des coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, et des (profits nets) pertes nettes sur placements. Pour 2010, nous excluons également l'incidence des ajustements à la juste valeur du passif lié aux parts du fonds et nous ajustons le résultat pour tenir compte de l'intérêt sur le passif lié aux parts du fonds à titre de participation ne donnant pas le contrôle. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Les mesures financières selon les IFRS les plus comparables sont le résultat net attribuable aux actionnaires ordinaires et le résultat par action. Le tableau ci-après présente un rapprochement du résultat net attribuable aux actionnaires ordinaires et du résultat par action avec le résultat net ajusté, préparé sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE Inc. (RPA ajusté), respectivement. |
(en millions $, sauf les montants liés aux actions) | |||||
T1 2011 | T1 2010 | ||||
TOTAL |
PAR ACTION |
TOTAL |
PAR ACTION |
||
Résultat net attribuable aux actionnaires ordinaires | 503 | 0,67 | 706 | 0,92 | |
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres |
40 | 0,05 | 25 | 0,03 | |
(Profits nets) pertes nettes sur placements |
- | - | (125) | (0,16) | |
Ajustement à la juste valeur du passif lié aux parts du fonds |
- | - | (147) | (0,19) | |
Ajustement pour tenir compte de l'intérêt sur le passif lié aux parts du fonds à titre de participation ne donnant pas le contrôle |
- | - | 8 | 0,01 | |
Résultat net ajusté | 543 | 0,72 | 467 | 0,61 |
Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué, y compris,
sans s'y limiter, des déclarations concernant notre orientation
financière pour 2011 (ce qui comprend les produits, le BAIIA,
l'intensité du capital, le RPA ajusté et les flux de trésorerie
disponibles), la politique de dividendes de BCE, nos plans de
déploiement d'un réseau sans fil ELT, nos objectifs, nos plans et nos
priorités stratégiques, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas
des faits historiques, constituent des déclarations prospectives. Les
déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l'objet de
risques et incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs
hypothèses donnant lieu à la possibilité que les résultats ou
événements réels diffèrent de façon importante des attentes exprimées
ou sous-entendues dans ces déclarations prospectives. Par conséquent,
nous ne pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives
et nous mettons en garde le lecteur contre le risque d'accorder une
confiance sans réserve à ces déclarations prospectives. Les
déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué
décrivent nos attentes en date du 12 mai 2011 et, par conséquent,
pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois
canadiennes en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous
engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations
prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite de
l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements
futurs ni pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part
de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel d'éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels,
ni de sorties, de monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres
regroupements d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient
être annoncés ou survenir après le 12 mai 2011. L'incidence financière
de ces transactions ou éléments non récurrents ou d'autres éléments
exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à
chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative
l'incidence prévue ou la présenter de la même façon que les risques
connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont
présentées dans le but de donner de l'information sur les attentes et
les plans actuels de la direction, en particulier pour 2011, et de
permettre aux investisseurs et à d'autres parties de mieux comprendre
le contexte dans lequel nous exerçons nos activités. Le lecteur est
donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas
convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Hypothèses sur l'économie et les marchés
Un certain nombre d'hypothèses sur l'économie et les marchés canadiens
ont été formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations
prospectives pour 2011 contenues dans le présent communiqué, y compris,
sans s'y limiter : (i) la croissance de l'économie canadienne d'environ
2,9 % en 2011, selon l'estimation de la Banque du Canada, (ii) le
maintien de la compression des coûts et de la prudence manifestée par
les clients d'affaires en matière de dépenses, compte tenu du niveau
d'emploi et du rythme modéré de la reprise économique, (iii) le
maintien aux mêmes niveaux de la concurrence dans les services
résidentiels sur fil, surtout des entreprises de câblodistribution et
des fournisseurs de services voix sur protocole Internet (voix sur IP),
(iv) l'accroissement du rythme de substitution dans le sur-fil,
principalement en raison de la présence de nouveaux concurrents dans le
sans-fil et de l'adoption accélérée des services Internet et de
télévision mobiles et (v) la croissance de 4 à 5 points de base du taux
de pénétration du marché du sans-fil, en 2011, surtout en raison de la
concurrence exercée par les nouveaux venus, de l'adoption croissante
des téléphones intelligents et de l'utilisation plus intensive des
applications de données, ainsi que de l'émergence de nouveaux types
d'appareils sans fil, comme les tablettes.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles
Nos déclarations prospectives pour 2011 reposent également sur diverses
hypothèses relatives aux activités opérationnelles internes concernant
Bell (excluant Bell Aliant), y compris, sans s'y limiter : (i) la
poursuite de la diminution au chapitre des pertes d'abonnés des lignes
locales, à mesure que nous profitons des retombées positives de nos
investissements dans les réseaux de fibre à large bande, tant dans les
services de télévision que les services Internet, pour accroître la
pénétration des trois produits par foyer, étendre notre part du marché
des immeubles à logements multiples et générer des tarifs plus élevés
pour les ventes complémentaires de nos autres services résidentiels,
(ii) les programmes de fidélisation ciblés et les offres de services
groupés, les initiatives visant la reconquête de clients et la
meilleure prestation du service, qui permettront de réduire les pertes
au chapitre du nombre d'abonnés des services d'accès au réseau (SAR)
résidentiels, d'un exercice à l'autre, (iii) l'obtention de nouveaux
abonnés et l'augmentation du produit moyen par unité (PMU) de Bell
Télé, fondées sur la capacité de Bell de tirer parti de sa position de
chef de file du secteur de la programmation haute définition, de faire
des gains supplémentaires sur le marché des immeubles à logements
multiples et de mettre à profit son vaste réseau de distribution au
détail, qui comprend La Source, tout en procédant au lancement graduel
du service de télé IP de Bell Canada à Toronto et à Montréal, (iv) les
investissements continus substantiels dans nos réseaux de fibre
optique, pour étendre davantage la place que nous occupons avec notre
réseau sur fil à large bande, afin de renforcer notre position
concurrentielle face aux entreprises de câblodistribution et permettre
d'introduire dans les foyers des produits IP de pointe qui ne peuvent
être offerts au moyen des technologies de câblodistribution, (v) la
progression des dépenses des clients, la formation de nouvelles
entreprises et l'accroissement de la demande pour les services de
connectivité et de TIC à mesure que l'économie se redressera et que les
niveaux d'emploi s'amélioreront, entraîneront l'amélioration graduelle
du rendement de notre unité Marchés Affaires, y compris des pertes
d'abonnés des SAR d'affaires, (vi) la réalisation d'économies et
l'amélioration de l'efficience opérationnelle découlant de la
renégociation de contrats avec nos fournisseurs et des fournisseurs
externes, de la diminution des coûts liés aux services de soutien, de
la poursuite des réductions de la main-d'oeuvre, de l'amélioration de la
productivité des employés des services extérieurs, du regroupement des
postes de gestion et des structures organisationnelles pour réaliser
d'autres améliorations de l'efficacité opérationnelle, de la réduction
du trafic non acheminé par notre propre réseau et de la gestion des
coûts relatifs au contenu, (vii) la poursuite de la migration des
clients vers les systèmes sur protocole Internet (IP) et les pressions
continues sur les prix dans nos marchés d'affaires et de gros, (viii)
la probabilité que Bell profitera de la portée concrète des
investissements importants effectués en 2010 dans l'acquisition
d'abonnés et la fidélisation de la clientèle, ainsi que de la
croissance continue au chapitre des activations de téléphones
intelligents et de l'utilisation des services de données, (ix)
l'intensification de la concurrence livrée par les nouveaux venus dans
le secteur du sans-fil en 2011, avec l'arrivée d'autres fournisseurs de
services sur le marché et l'ouverture continue de nouveaux marchés par
les fournisseurs actuels, qui accroissent ainsi leur rayonnement au
chapitre de la distribution, * la croissance prévue des produits
tirés de nos services sans fil, découlant du PMU tiré de nouveaux
services, de la gestion prudente des tarifs et de l'expansion constante
et méthodique de notre clientèle, (xi) la probabilité que Bell tirera
parti des perfectionnements technologiques constants apportés par les
fabricants de nos combinés et appareils et de l'accélération des
vitesses de transmission qui permettent à nos clients d'optimiser
l'utilisation de nos services, (xii) le maintien d'une gestion prudente
des dépenses pour atténuer l'incidence des prix très bas des marques
économiques ainsi que des prix pratiqués par les nouveaux concurrents,
la hausse des dépenses liées à la fidélisation de la clientèle ainsi
que les coûts d'acquisition d'abonnés accrus découlant de
l'augmentation du taux de pénétration des téléphones intelligents,
(xiii) le maintien de la part de marché de Bell du marché des services
postpayés dans le sans-fil pour les entreprises titulaires, (xiv) la
capacité de Bell à tirer parti des investissements effectués dans son
réseau HSPA+ pour favoriser l'augmentation du nombre de clients
utilisant des téléphones intelligents et d'autres clients générant une
valeur élevée, qui donnerait lieu à une croissance des produits tirés
des services de données et d'itinérance, (xv) le maintien de Bell Média
parmi les 20 premières positions, quant aux cotes d'écoute de
télévision générale, afin de soutenir la croissance des produits tirés
de la publicité, (xvi) le maintien du rythme, en matière de produits
tirés de la publicité à l'égard des actifs spécialisés de Bell Média,
s'appuyant sur les hausses des cotes d'écoute de nos services
spécialisés consacrés aux sports et reflétant la hausse des produits
tirés des abonnements d'un exercice à l'autre, (xvii) le maintien de la
forte compétitivité de Bell Média sur le marché de la radio à Toronto,
avec le lancement de TSN Radio et les bonnes cotes d'écoute obtenues
par la station de radiodiffusion Flow 93,5 depuis son acquisition en
janvier 2011, (xviii) la poursuite des acquisitions fructueuses
d'émissions à cotes d'écoute élevées et de contenu différencié pour les
actifs télévisuels conventionnels et spécialisés de Bell Média et (xix)
les investissements continus en haute définition pour les chaînes
spécialisées de Bell Média et la réussite de la transition vers la
télévision numérique, exigée par le CRTC.
Hypothèses financières
Nos déclarations prospectives pour 2011 sont également basées sur
certaines autres hypothèses financières pour 2011 concernant Bell
(excluant Bell Aliant), qui ont été mises à jour afin de refléter
l'inclusion des résultats de Bell Média à partir du deuxième trimestre
de 2011. Ces hypothèse comprennent, sans s'y limiter : (i) une
estimation du total des charges de retraite de Bell d'environ
130 millions de dollars, fondée sur un taux d'actualisation comptable
estimatif de 5,5 % et un rendement attendu de l'actif des régimes de
7 %, avec un coût estimatif des services rendus au cours de la période
au titre des régimes de retraite supérieur au BAIIA d'environ
190 millions de dollars et un rendement estimatif net des régimes de
retraite inférieur au BAIIA d'environ 60 millions de dollars, (ii) des
besoins de capitalisation des régimes de retraite de Bell totalisant
environ 425 millions de dollars, (iii) des impôts en espèces totalisant
environ 225 millions de dollars pour Bell et (iv) le remboursement des
dettes arrivant à échéance en 2011 par Bell.
Nos déclarations prospectives pour 2011 sont également basées sur certaines autres hypothèses financières pour 2011 concernant BCE, y compris, sans s'y limiter : (i) une dotation aux amortissements supérieure d'environ 100 millions de dollars à celle de 2010, (ii) des coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres dans une fourchette de 350 millions de dollars à 400 millions de dollars, (iii) un taux d'imposition prévu par la loi d'environ 28,3 % et un taux d'imposition effectif d'environ 25 % et (iv) un dividende annuel sur les actions ordinaires de 1,97 $ par action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été considérées comme raisonnables par BCE le 12 mai 2011, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer de façon importante de nos attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque en conséquence desquels nos hypothèses
et estimations pourraient être inexactes et nos résultats ou événements
réels pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés
ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris notre
orientation financière pour 2011, sont énumérés ci-dessous. La
réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre capacité
à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans notre
orientation financière pour 2011, dépend essentiellement du rendement
de notre entreprise, qui à son tour est assujetti à de nombreux
risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde du fait que tous
les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence
défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces risques
comprennent, sans s'y limiter : (i) l'intensité de l'activité de nos
concurrents, y compris l'intensification de l'activité de ces derniers
dans le sans-fil découlant de l'octroi par Industrie Canada de licences
d'utilisation du spectre pour les services sans fil évolués (SSFE) à de
nouveaux venus dans le secteur du sans-fil et de leur capacité à lancer
de tels services ou à réaliser l'expansion de ceux-ci, ainsi que
l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients actuels
et à en attirer de nouveaux de même que sur nos stratégies
d'établissement des prix, sur notre PMU et sur nos résultats
financiers; (ii) la variabilité des coûts d'acquisition d'abonnés et de
fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre d'acquisitions
d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de téléphones
intelligents et des montants des subvention; (iii) le rythme de
substitution technologique qui contribue à réduire l'utilisation des
services voix sur fil traditionnels et à augmenter le nombre de foyers
qui n'utilisent que les services de téléphonie sans fil;
(iv) l'adoption croissante par les clients des services de télévision
parallèles; (v) la conjoncture économique et les conditions du marché
des capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs,
la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de ceux-ci;
(vi) notre capacité à mettre en œuvre nos stratégies et nos plans afin
de produire les avantages attendus; (vii) notre capacité à poursuivre
la mise en œuvre de nos initiatives de réduction des coûts et à limiter
l'intensité du capital tout en nous efforçant d'améliorer le service à
la clientèle; (viii) notre capacité à nous adapter aux changements
technologiques et à offrir rapidement de nouveaux produits et services;
(ix) les cotisations accrues aux régimes d'avantages du personnel; *
les événements touchant la fonctionnalité de nos réseaux et de nos
systèmes et logiciels de technologie de l'information (TI) ainsi que
notre capacité à les protéger, à les maintenir et à les remplacer; (xi)
la complexité de notre environnement de TI et les coûts qui s'y
rapportent; (xii) les événements ayant une incidence sur la capacité
des tiers fournisseurs à nous fournir des produits et services
essentiels et notre capacité à acheter de tels produits et services,
comme les combinés; (xiii) la qualité de notre réseau et de
l'équipement à l'intention des clients et la mesure dans laquelle ils
peuvent être sujets à des défauts de fabrication; (xiv) les
interruptions de travail; (xv) les répercussions négatives éventuelles
sur nos réseaux Internet et sans fil découlant de l'augmentation
importante de la demande pour les services à large bande et du volume
du trafic des services de données sans fil; (xvi) les niveaux de
financement des dépenses d'investissement et autres, les exigences
liées au financement et à la dette et notre capacité à mobiliser le
capital nécessaire à la mise en œuvre de notre plan d'affaires, y
compris en ce qui a trait aux paiements de dividendes ainsi qu'au
financement des dépenses d'investissement et autres et, de façon
générale, notre capacité à respecter nos obligations financières;
(xvii) notre capacité à supprimer certains services traditionnels dans
la mesure nécessaire pour améliorer la productivité du capital et
l'efficience opérationnelle; (xviii) les initiatives ou les démarches
réglementaires (dont la possibilité qu'Industrie Canada augmente les
droits de licences d'utilisation du spectre ainsi que les modifications
potentielles aux restrictions relatives à la propriété étrangère), les
litiges et les modifications apportées aux lois ou aux règlements de
même que les questions fiscales; (xix) la dépendance significative de
Bell Média à l'égard des produits tirés de la publicité et l'incidence
négative possible sur ceux-ci des conditions économiques, des
variations cycliques et saisonnières, des changements technologiques et
des pressions concurrentielles; (xx) les risques liés au lancement des
satellites utilisés par Bell ExpressVu, société en commandite (Bell
Télé) ou touchant ces satellites lorsqu'ils sont en orbite; (xxi) la
concurrence exercée par les services de télévision par satellite de
radiodiffusion directe (SRD) américains non réglementés vendus
illégalement au Canada et le vol de nos services de télévision par
satellite; (xxii) la disponibilité des fréquences de la bande des 700
MHz nécessaires au déploiement du réseau sans fil ELT; (xxiii) la
dépendance de BCE Inc. quant à la capacité de ses filiales,
coentreprises et autres sociétés dans lesquelles elle détient une
participation de lui payer des dividendes ou de lui faire toute autre
distribution; (xxiv) l'impossibilité de garantir que des dividendes
seront déclarés par le conseil d'administration de BCE Inc. ou que la
politique de dividendes de BCE Inc. sera maintenue; (xxv) la volatilité
des marchés boursiers; (xxvi) notre capacité à maintenir le service à
la clientèle et à assurer le fonctionnement de nos réseaux si des
catastrophes environnementales ou des épidémies, des pandémies et
d'autres risques liés à la santé survenaient; (xxvii) les
préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de
radiofréquences par des appareils sans fil; et (xxviii) le maintien en
poste des employés ainsi que leur rendement.
Pour plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, se reporter au rapport de gestion annuel 2010 de BCE daté du 10 mars 2011 (compris dans le rapport annuel 2010 de BCE) et au rapport de gestion du premier trimestre 2011 de BCE daté du 11 mai 2011, ces documents étant déposés par BCE auprès des commissions canadiennes des valeurs mobilières (disponibles au www.sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des états-Unis (disponibles au www.sec.gov). Ces documents sont également disponibles sur le site Web de BCE au www.bce.ca.
À propos de Bell
Bell est la plus grande entreprise de communications du Canada. Elle
offre aux consommateurs et aux entreprises des solutions à tous leurs
besoins de communications, y compris les services sans fil de Bell
Mobilité, les services haute vitesse Bell Internet, les services Bell
Télé Satellite et Bell Télé Fibe, le service local et interurbain Bell
Téléphonie, ainsi que les services IP-large bande et les services des
technologies de l'information et des communications (TIC) de Bell
Marchés Affaires. Bell Média est la première entreprise canadienne de
multimédias. Elle possède des actifs dans les secteurs de la
télévision, de la radio et des médias numériques, y compris CTV,
premier réseau de télévision du Canada, et les canaux spécialisés les
plus regardés au pays.
L'initiative en santé mentale de Bell est un programme de bienfaisance pluriannuel faisant la promotion de la santé mentale au Canada par l'intermédiaire de la campagne de lutte contre la stigmatisation Bell Cause pour la cause et du soutien des soins communautaires, de la recherche et des meilleures pratiques au travail. Pour en savoir plus, visitez le site www.bell.ca/cause.
Bell est la propriété exclusive de BCE Inc. Les actions de BCE sont cotées en Bourse au Canada et aux états-Unis. Pour plus d'information sur BCE, visitez le site www.bce.ca. Pour plus d'information sur les produits et services de Bell, visitez le site www.bell.ca. Pour découvrir Bell Média, visitez le site www.bellmedia.ca.
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