Notre engagement envers l’environnement au fil du temps
1880 à 1980 aperçu de nos premiers programmes environnementaux
De 1880 à 1900, l’«environnement» est déjà un sujet de discussion. Les gestionnaires de Bell et les surintendants de la construction discutent des meilleures pratiques d’élagage pour réduire les dommages causés aux arbres. Les systèmes de chauffage et de ventilation des grands bâtiments de Bell sont à la fine pointe de la technologie.
Seconde Guerre mondiale : Confrontée à des mesures restrictives pendant la Seconde Guerre mondiale, Bell réfléchit aux moyens de conserver et de réutiliser le matériel et les équipements téléphoniques.

Présentoir témoignant des efforts de conservation du matériel de guerre au sein de l’entreprise, 1942.
Dans les années 1970, Bell se fixe comme objectif d’exercer ses activités de manière à contribuer le moins possible à la pollution de l’environnement. En voici quelques exemples :
- Les vieux téléphones publics sont récupérés et démantelés. Les pièces utiles sont remises en état et réutilisées. Le métal résiduel est traité et vendu à des acheteurs de métaux.
- Les services de télévision par conférence sont introduits, permettant à des personnes de différentes villes de se réunir par l’entremise de liaisons de diffusion. Cette technologie réduit les frais de déplacement et les émissions polluantes.
- 24 % des véhicules du parc de Bell sont dotés de dispositifs antipollution.
- Bon nombre des immeubles de bureaux et des installations d’équipement de Bell sont chauffés à l’électricité plutôt qu’au mazout. Quelques-uns sont chauffés au gaz naturel, un combustible qui produit un minimum d’émissions.
- L’entreprise est très soucieuse de l’utilisation des produits chimiques et de l’élimination des déchets. Par exemple, les déchets de papier, la plus grande catégorie de déchets, sont éliminés par l’intermédiaire de soustraitants qui les retraitent.
1970 : Bell fait l’essai du gaz naturel comme carburant pour ses camions de réparation dans les régions de Montréal et de Toronto afin de lutter contre la pollution.
Réparation d’un camion et sa conversion en véhicule à gaz naturel dans le cadre d’une expérience menée par Bell, 1970
Récupération d’anciens téléphones publics dans les entrepôts d’équipements de Bell, 1976
Enveloppe destinée à la clientèle affichant le nouveau logo honorant l’environnement, 1973
1973 : Le plus grand projet jamais entrepris dans le cadre du programme environnemental de l’entreprise est lancé. Les relevés et les enveloppes postales de la clientèle sont désormais faits de matériaux recyclés, issus de déchets postconsommation, et portent un nouveau logo en forme de flèche circulaire.
1974 : Approbation de la première politique de protection et d’amélioration de l’environnement.
1975 : Une campagne publicitaire intitulée «Saving energy makes cents» encourage les membres de l’équipe à utiliser l’énergie de manière judicieuse afin de préserver les ressources et de réduire la pollution.
1980 : Bell officialise ses pratiques de conservation de l’énergie en créant une politique globale en la matière. La gestion de l’énergie fait maintenant partie intégrante de toutes les décisions d’affaires internes.
1981 : Bell élargit la portée du projet Croissance Zéro, lancé en 1978, qui vise à lutter contre le gaspillage de papier en instaurant des restrictions sur la reproduction. Le thème est «Épargnons nos forêts».
1989 : Reconnaissant que ses activités commerciales quotidiennes ont un impact sur l’environnement, Bell crée le groupe Environnement de l’entreprise, qui se consacre à temps plein à l’environnement. Le premier rapport officiel du groupe, intitulé «The State of the Environment at Bell Canada», est publié en 1991.

Affiche de la campagne promotionnelle «Combatez l’inflation, ménagez l’énergie», 1975

Membres du personnel de Bell utilisant la technologie de vidéoconférence, autour de 1980

Affiche pour la promotion de la conservation du papier dans les bureaux de Bell, autour de 1980
Années 1990 et 2000 : création de programmes à l’échelle de l’entreprise
1989–1990 : Bell parraine de nombreuses initiatives qui visent à rendre les annuaires téléphoniques plus respectueux de l’environnement. En 1990, tous les annuaires peuvent être entièrement recyclés.
1990 : Introduction du programme quinquennal Energy Wise, qui vise à réduire la consommation d’électricité dans les centraux et les installations connexes.
1990 : Les envois à la clientèle et les enveloppes de retour de paiement sont désormais faits de papier 100 % recyclé.
Années 1990 : Bell parraine des initiatives de plantation d’arbres et encourage les membres de son équipe à y participer.
1991 : Les bacs bleus font leur apparition dans les bureaux de Bell. On estime que 90 % des 10 000 tonnes de papier utilisées chez Bell peuvent être recyclées chaque année.

Promotion du recyclage des bottins téléphoniques, 1990.

Pierre Cloutier dirige le groupe responsable de la mise en place des bacs de recyclage chez Bell, 1991.
1993 : Lancement du projet Zéro déchet. Les membres de l’équipe jettent leurs déchets dans des bacs prévus à cet effet, situés à chaque étage. L’aspect le plus original du projet est la composante de compostage à grande échelle. Ce programme attire l’attention des Nations Unies, devant qui Bell présente une étude de cas lors d’une conférence sur l’environnement et l’éthique tenue en janvier 1994.

Des membres de l’équipe de Bell et leurs enfants participent à un projet de plantation d’arbres, Scarborough, Ontario, 1993.

Bac de compost imposant dans le cadre du projet Zéro déchet, 1992.

Une cliente remet son ancien téléphone dans une Téléboutique de Bell, 1993.
1993 : Bell lance un programme de recyclage révolutionnaire au Québec afin de récupérer les téléphones usagés dans 45 Téléboutiques (maintenant rebaptisées magasins Bell). Les consommateurs et consommatrices peuvent apporter les téléphones dont ils ne veulent plus à Bell, peu importe leur âge ou leur marque. Les téléphones sont démontés et les plastiques et autres composants recyclés sont utilisés dans de nouveaux produits.
1993 : Bell reconnaît le télétravail et ses répercussions positives sur l’environnement.
1993 : Bell utilise de l’huile recyclée ou régénérée pour son parc de 12 000 véhicules. Toute l’huile usagée est récupérée pour être recyclée et réutilisée. Bell envoie également 12 000 pneus usagés à une entreprise de recyclage chaque année.
1994 : Bell lance un programme de récupération et de recyclage des matières dangereuses. Elle devient la première entreprise en Amérique du Nord à recycler les bombes aérosol.
2001 : Bell passe à l’électrique et à l’hybride. Le parc de véhicules de l’entreprise possède maintenant sa première voiture hybride, une Toyota Prius, et son premier véhicule électrique, une camionnette Ford Ranger.
2001 : Bell Mobilité lance un programme de recyclage des piles de téléphones cellulaires. Deux ans plus tard, en 2003, elle lance le programme Recycler, réutiliser, recomposer, qui offre aux utilisateurs et utilisatrices une méthode responsable pour éliminer les téléphones cellulaires dont ils ne veulent plus. Les téléphones remis à neuf dans le cadre de ce programme sont donnés à plus de 90 refuges pour femmes au Canada.

Membre de l’équipe de Bell travaillant de la maison, 1995.

Nouveaux véhicules hybrides et électriques de Bell, 2001.

Bell Mobilité fait la promotion de son programme de reprise et de recyclage des appareils, 2007.