BCE présente ses résultats du T4 et de l'exercice 2014 et annonce ses perspectives financières pour 2015 - Augmentation de 5,3 % du dividende sur actions ordinaires, à 2,60 $ par année

  • Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 542 millions $, en hausse de 9,5 %; bénéfice net ajusté de 610 millions $, en hausse de 13 % et BPA ajusté de 0,72 $, en hausse de 2,9 %
  • Augmentation du BAIIA ajusté des Services sans fil de Bell de 10,6 %, soutenue par la croissance accélérée de 9,6 % des produits des activités ordinaires générée par la hausse de 5,5 % du PMU combiné
  • Total des activations nettes d'abonnés des services postpayés dans le sans-fil de BCE de 118 120 au T4
  • Croissance positive du BAIIA ajusté des Services sur fil de Bell pour un deuxième trimestre consécutif, en hausse de 2,0 %
  • 76 074 nouvelles activations nettes d'abonnés du service de télé IP de BCE et 52 010 nouveaux abonnés nets des services Internet de BCE, l'expansion de la zone de couverture du réseau de fibre pour la télé IP permettant de rejoindre plus de 6 millions d'emplacements de clients
  • Augmentation des flux de trésorerie disponibles de 23,6 %, à 833 millions $, et de 6,7 % sur l'ensemble de l'exercice 2014
  • Maintien de la part de l'auditoire télé et des cotes d'écoute de premier plan de Bell Média, TSN et RDS confirmant leur position de meilleures chaînes de télé spécialisée au Canada
  • Perspectives pour 2015 s'appuyant sur l'élan positif des activités d'exploitation et la réalisation des impératifs stratégiques, en appui à la hausse du dividende et à l'important programme d'investissement

Le présent communiqué de presse contient des déclarations prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans le communiqué.

MONTRÉAL, le 5 févr. 2015 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour le quatrième trimestre (T4) ainsi que les résultats annuels de 2014, et a annoncé son orientation financière pour 2015 et une majoration de 0,13 $ par action du dividende annuel par action ordinaire de BCE, qui est porté à 2,60 $.

FAITS SAILLANTS FINANCIERS                
(en millions $, sauf les montants par action) (non audité) T4 2014 T4 2013 % de variation   2014 2013 % de variation  
Bell(i)                
Produits d'exploitation 4 940 4 813 2,6 % 18 734 18 109 3,5 %
BAIIA ajusté(1) 1 730 1 693 2,2 % 7 066 6 817 3,7 %
BCE                
Produits d'exploitation 5 528 5 382 2,7 % 21 042 20 400 3,1 %
BAIIA ajusté 2 022 1 998 1,2 % 8 303 8 089 2,6 %
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires 542 495 9,5 % 2 363 1 975 19,6 %
BPA 0,64 0,64 -   2,98 2,55 16,9 %
BPA ajusté(2) 0,72 0,70 2,9 % 3,18 2,99 6,4 %
Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation 1 527 1 838 (16,9) % 6 241 6 476 (3,6) %
Flux de trésorerie disponibles(3) 833 674 23,6 % 2 744 2 571 6,7 %
Flux de trésorerie disponibles par action(3) 1,01 0,86 17,4 % 3,46 3,31 4,5 %

(i)     Bell comprend les secteurs Services sans fil de Bell, Services sur fil de Bell et Bell Média.

« Le travail remarquable de l'équipe de Bell à l'égard de la mise en œuvre de notre stratégie d'investissement dans les réseaux et les services large bande, l'efficience des activités d'exploitation et l'amélioration du service à la clientèle rapportent à chacune de nos parties prenantes. En effet, les clients de Bell profitent de l'innovation sans précédent des produits et des réseaux, les actionnaires de BCE obtiennent une valeur élevée, comme en témoigne l'annonce de notre plus récente hausse du dividende, et la communauté a reçu un investissement inégalé grâce au nouveau record atteint lors de la Journée Bell Cause pour la cause. Les résultats solides du T4 et pour 2014 démontrent que Bell est un concurrent de taille et déterminé à occuper la position de chef de file des services de croissance dans les communications au Canada, soit les services sans-fil, télé, Internet et médias », a déclaré George Cope, président et chef de la direction de BCE Inc. et de Bell Canada. « Le nombre d'abonnés aux Services sans fil de Bell a augmenté de façon exceptionnelle et ce secteur a généré une forte croissance des produits des activités ordinaires, dont une hausse trimestrielle marquée du produit moyen par client, l'utilisation des téléphones intelligents et des services de données montant en flèche. Grâce à la popularité rapidement grandissante de Télé Fibe et d'Internet Fibe, nos Services sur fil ont connu leur premier trimestre de croissance pour ce qui est des produits, du BAIIA et des ajouts nets d'abonnés des services résidentiels sur fil depuis le lancement de la téléphonie par câble il y a dix ans. De plus, Bell Média a continué de donner le ton, dans le domaine des multimédias au Canada, en conservant sa position de leader dans le marché des services de télé traditionnelle et spécialisée, de radiodiffusion et, grâce à CraveTV, dans celui en plein essor de la vidéo sur demande. »

Bell centre ses efforts sur un objectif clair, celui d'être reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de communications du Canada, qu'elle compte atteindre grâce à l'exécution de 6 impératifs stratégiques : investir dans les réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans les médias, améliorer le service à la clientèle et établir une structure de coûts concurrentielle.

« Sur le plan financier, l'exercice 2014 a été fructueux. Nous avons atteint sans difficulté tous les objectifs de notre orientation financière pour l'exercice. Année après année, nous réussissons à assurer la constance de notre rendement, ce qui confirme l'efficacité du modèle économique de Bell fondé sur 6 impératifs stratégiques. Malgré la concurrence féroce qui sévit dans le secteur des communications et les changements dans la dynamique de ce secteur, nous avons tiré parti de notre modèle économique et enregistré des résultats conformes ou supérieurs aux attentes de façon constante », a affirmé Siim Vanaselja, chef des affaires financières de BCE et de Bell Canada. « BCE entame 2015 avec un élan opérationnel et des bases financières solides. Les objectifs de notre orientation financière pour l'exercice reflètent nos prévisions quant au maintien du niveau élevé de la rentabilité du secteur des Services sans fil, à la croissance positive du rendement du secteur des Services sur fil et à la saine augmentation du bénéfice et des flux de trésorerie disponibles grâce aux activités d'exploitation qui appuieront nos dépenses d'investissement majeures dans l'infrastructure réseau stratégique et la hausse du dividende sur les actions ordinaires de BCE en 2015. »

AUGMENTATION DU DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
L'annonce d'aujourd'hui sur le dividende représente la onzième augmentation du dividende annuel par action ordinaire de BCE, soit une augmentation de 78 %, au cours des 6 dernières années. Le dividende annualisé par action ordinaire de BCE augmentera de 5,3 %, ou 13 cents par action, passant de 2,47 $ à 2,60 $; cette augmentation s'appliquera au dividende du T1 2015 de BCE, payable le 15 avril 2015 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 16 mars 2015. Compte tenu de cette augmentation, BCE maintiendra le ratio de distribution(4) à l'intérieur de la fourchette de 65 % à 75 % des flux de trésorerie disponibles établie dans la politique. Cette décision de majorer le dividende pour 2015 s'appuie entièrement sur l'augmentation prévue des flux de trésorerie disponibles générés et sur des perspectives commerciales solides pour 2015.

COTISATION VOLONTAIRE AU RÉGIME DE RETRAITE
En décembre 2014, BCE a versé une cotisation volontaire au régime de retraite de 350 millions $ afin d'harmoniser la situation de capitalisation du régime de retraite à prestations définies de Bell Aliant avec celle des régimes de Bell Canada qui présentent une excellente solvabilité, ce qui a réduit le montant des obligations futures au titre des régimes de retraite de BCE. La cotisation volontaire a été financée par des fonds en caisse à la fin de 2014. Comme les intervenants du marché s'attendent, de façon générale, à une faiblesse persistante des taux d'intérêt, il est judicieux d'utiliser la trésorerie pour accélérer la capitalisation des obligations futures de BCE.

ACQUISITION DE GLENTEL
Le 28 novembre 2014, BCE a annoncé la conclusion d'une entente définitive en vue d'acquérir toutes les actions émises et en circulation de GLENTEL Inc., un distributeur qui offre plusieurs marques d'appareils mobiles utilisant la technologie à deux canaux au Canada, pour une contrepartie totale de 594 millions $. GLENTEL a obtenu l'approbation de ses actionnaires lors d'une assemblée extraordinaire des actionnaires tenue le 12 janvier 2015 et celle du tribunal, le 14 janvier 2015. La clôture de la transaction devrait avoir lieu au printemps 2015, sous réserve de l'obtention de l'approbation du Bureau de la concurrence. BCE a conclu une entente en vue de vendre 50 % de sa participation dans GLENTEL à Rogers Communications Inc., à la suite de la conclusion de l'acquisition. Rogers versera à BCE un montant en trésorerie d'environ 392 millions $, ce qui réduira le coût net de BCE pour l'acquisition de sa participation restante de 50 % dans GLENTEL à 202 millions $. La transaction avec Rogers devrait se conclure peu de temps après l'acquisition de GLENTEL par BCE, sous réserve des conditions de clôture habituelles, y compris les approbations réglementaires.

SUCCÈS INÉGALÉ POUR LA JOURNÉE BELL CAUSE POUR LA CAUSE
L'événement annuel vedette de l'initiative en santé mentale d'envergure nationale de Bell, la Journée Bell Cause pour la cause, tenu le 28 janvier, a stimulé la conversation sur la santé mentale et a nourri l'espoir d'un Canada sans préjugé comme jamais auparavant. Encouragés par Clara Hughes, la porte-parole nationale de la Journée Bell Cause pour la cause, les Canadiens et des gens dans le monde entier ont manifesté leur appui à cette cause lors de la Journée Bell Cause pour la cause en générant un nombre record de 122 150 772 tweets, messages textes, appels passés et partages sur Facebook. Grâce au don de Bell de 5 cents par interaction, un montant de 6 107 538,60 $ a été amassé pour le financement de programmes en santé mentale. Le sujet Bell Cause pour la cause a été la tendance Twitter numéro 1 au Canada et dans le monde, les tweets ayant augmenté de 58 % par rapport à 2014. Fondée sur 4 piliers d'action : la lutte contre la stigmatisation, l'accès aux soins, la recherche et les pratiques exemplaires en milieu de travail, l'initiative Bell Cause pour la cause fournit du financement aux hôpitaux, aux instituts de recherche et aux groupes communautaires reconnus pour leur leadership en santé mentale dans toutes les régions et a jusqu'à maintenant dédié un montant de 73 623 413,80 $ à la santé mentale au Canada. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.

REJOUER : UNE NOUVELLE FONCTION NOVATRICE DE TÉLÉ FIBE
La plus récente amélioration de Bell Télé Fibe, la nouvelle fonction exclusive « Rejouer », permet aux clients de revenir en arrière et de regarder des émissions de télé déjà en cours à partir du début. Autre première canadienne de Télé Fibe, lancée le 2 février, Rejouer est compatible avec des milliers d'émissions diffusées sur des réseaux comme CBC, CTV, Global TV, HBO Canada, Super Channel, TSN et plusieurs autres. Rejouer, à l'image des services de télé IP de prochaine génération comme Télé Fibe, est une fonction novatrice offrant un vaste choix qui résulte de l'orientation stratégique de Bell visant un investissement inégalé dans les réseaux et les services à large bande évolués au Canada. À l'instar de la croissance robuste du nombre d'abonnés des services sans fil et des services de données propulsée par le déploiement rapide du réseau mobile 4G LTE de Bell, l'expansion continue de la fibre fait augmenter considérablement les ajouts des services de croissance de télé IP et Internet de Bell. La zone de couverture du service Télé Fibe s'étend maintenant à plus de 5 millions de foyers, en hausse par rapport à la fin de 2013 où elle en couvrait 4,3 millions. En incluant la zone de service de Bell Aliant, la zone de couverture totale du service de télé IP de BCE s'étend maintenant à plus de 6 millions d'emplacements de clients.

RÉSULTATS DE BCE
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 2,7 %, à 5 528 millions $ au T4, reflétant l'augmentation des produits des activités ordinaires de Bell et de Bell Aliant. Le BAIIA ajusté a augmenté de 1,2 %, à 2 022 millions $, soutenu par la forte croissance réalisée par Bell, contrebalancée partiellement par la diminution d'un exercice à l'autre subie par Bell Aliant. Pour l'ensemble de l'exercice 2014, les produits d'exploitation et le BAIIA ajusté de BCE ont augmenté de 3,1 % et de 2,6 %, respectivement.

Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE pour le T4 2014 s'est élevé à 542 millions $, soit 0,64 $ par action, en hausse de 9,5 % par rapport au T4 2013, où il s'est établi à 495 millions $, soit 0,64 $ par action. Le bénéfice net ajusté a augmenté de 13,0 %, à 610 millions $, et le bénéfice par action (BPA) ajusté a crû de 2,9 %, à 0,72 $, comparativement à 0,70 $ à l'exercice précédent, grâce à la hausse du BAIIA ajusté attribuable au maintien du niveau élevé de la rentabilité du sans-fil et à la croissance positive globale du sur-fil. La diminution de la participation ne donnant pas le contrôle, liée à la privatisation de Bell Aliant réalisée le 1er novembre 2014, a également contribué à la hausse du bénéfice net ajusté au cours du trimestre.

Au T4 2014, nous avons comptabilisé une perte de valeur nette de 95 millions $, qui découle principalement des propriétés de télé traditionnelle de Bell Média. La perte de valeur s'explique par la faiblesse de l'ensemble du marché canadien de la publicité télé et l'augmentation des coûts du contenu. L'incidence de cette perte a été largement compensée par des profits nets évalués à la valeur du marché, enregistrés au cours du trimestre, sur les dérivés sur actions conclus pour couvrir nos passifs au titre de la rémunération fondée sur des actions et des achats libellés en dollars américains.

Pour 2014, le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires s'est chiffré à 2 363 millions $, ou 2,98 $ par action, en hausse de 19,6 % par rapport à 2013, où il s'est établi à 1 975 millions $, ou 2,55 $ par action. Cette augmentation est attribuable à la croissance robuste du BAIIA ajusté, à la diminution de la participation ne donnant pas le contrôle et à une charge en 2013 relative à une obligation au titre des avantages tangibles imposée par le CRTC que Bell a payée dans le cadre de son acquisition d'Astral Media, partiellement contrebalancée par une perte de valeur nette comptabilisée au T4 2014. Le bénéfice net ajusté de 2 524 millions $ et le BPA ajusté de 3,18 $ ont augmenté de 8,9 % et de 6,4 %, respectivement, par rapport à 2013. Cette hausse reflète l'augmentation du BAIIA ajusté stimulée par l'apport accru des services de croissance de Bell, la baisse de la charge financière nette au titre des régimes de retraite et les profits liés à la valeur de marché sur des dérivés sur actions utilisés comme couvertures économiques de la rémunération fondée sur des actions et des achats libellés en dollars américains.

Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE se sont élevés à 1 527 millions $, comparativement à 1 838 millions $ au T4 2013, ce qui s'explique par la cotisation volontaire aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi de 350 millions $ versée à la fin de 2014. Les flux de trésorerie disponibles générés au T4 2014 se sont établis à 833 millions $, soit 23,6 % de plus qu'à l'exercice précédent, en raison de l'augmentation du BAIIA ajusté et de la baisse des dépenses d'investissement. Compte tenu de la privatisation de Bell Aliant réalisée le 1er novembre 2014, les flux de trésorerie disponibles de BCE du T4 incluent un apport de Bell Aliant pour deux mois. Pour l'ensemble de l'exercice 2014, les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation ont diminué de 3,6 % pour s'établir à 6 241 millions $, en raison d'une cotisation volontaire au régime de retraite de 350 millions $, tandis que les flux de trésorerie disponibles ont augmenté de 6,7 % pour se chiffrer à 2 744 millions $. Les flux de trésorerie disponibles par action se sont élevés à 1,01 $ par action au T4 et à 3,46 $ par action en 2014, ce qui représente des hausses d'un exercice à l'autre de 17,4 % et de 4,5 %, respectivement.

Au T4 2014, BCE (Bell Canada et Bell Aliant) a ajouté 177 698 nouveaux abonnés nets des services de croissance dans les communications (sans fil, télé et Internet) : 118 120 abonnés des services sans fil postpayés, nombre en partie contrebalancé par la perte de 34 622 abonnés des services prépayés; 42 190 abonnés des services de télé, reflétant l'ajout de 76 074 nouveaux abonnés nets du service de télé IP; et 52 010 abonnés d'Internet haute vitesse. Les pertes nettes totales au chapitre des SAR ont diminué de 31,0 % pour s'établir à 93 005 abonnés. À la fin de 2014, BCE comptait au total : 8 118 628 abonnés du sans-fil, soit une hausse de 2,4 % par rapport au T4 2013; 2 642 608 abonnés des services de télé, soit une augmentation de 6,2 % (incluant les 933 547 abonnés du service de télé IP, soit une augmentation de 42 %); 3 297 026 abonnés d'Internet haute vitesse, soit une augmentation de 5,1 %; et 7 130 852 abonnés des SAR au total, soit une diminution de 6,1 %.

RÉSULTATS DE BELL
Au T4, les produits d'exploitation de Bell ont augmenté de 2,6 %, à 4 940 millions $, alimentés par la hausse de 2,2 % des produits tirés des services, ce qui reflète une forte augmentation d'un exercice à l'autre dans le secteur des Services sans fil de Bell ainsi qu'une croissance positive globale du sur-fil. Les produits d'exploitation tirés des produits ont augmenté de 6,8 % par rapport au T4 2013, ce qui reflète le nombre accru de mises à niveau des appareils sans fil et de ventes d'équipements de transmission de données aux clients d'affaires, et contribue à l'augmentation d'un exercice à l'autre du total des produits d'exploitation de Bell. Les produits tirés de Bell Média ont diminué de 3,9 % par rapport à ceux de l'exercice précédent.

Au T4, le BAIIA ajusté de Bell a augmenté de 2,2 % pour s'établir à 1 730 millions $, soutenu par les augmentations de 10,6 % pour les Services sans fil de Bell et de 2,0 % pour les Services sur fil de Bell. Au cours du trimestre, la croissance globale a été ralentie par une baisse de 16,5 % dans le secteur Bell Média, en raison de l'augmentation des coûts pour les droits de diffusion dans les sports et des investissements liés au contenu destiné au service de vidéo sur demande CraveTV. Au T4 2014, la marge du BAIIA consolidée de Bell est demeurée essentiellement inchangée à 35,0 %, comparativement à 35,2 % au T4 2013.

Pour 2014, conformément aux objectifs de l'orientation pour l'exercice, les produits d'exploitation et le BAIIA de Bell ont augmenté de 3,5 % et de 3,7 %, respectivement, pour s'établir à 18 734 millions $ et à 7 066 millions $, alimentés par l'augmentation de l'apport des services de croissance de Bell (sans-fil, télé, Internet et médias). Le total des produits générés par ces services de croissance a augmenté de 814 millions $ en 2014, soit une hausse de 5,5 % par rapport à l'exercice précédent.

Bell a investi 932 millions $ en nouveau capital au T4 2014, ce qui porte les dépenses d'investissement totales pour l'exercice à 3 142 millions $, une hausse de 4,7 % par rapport à 2013. Ces investissements appuient la poursuite du déploiement de la fibre à large bande dans des domiciles et des entreprises en vue d'élargir la zone de couverture de notre service Télé Fibe et d'offrir des services Internet plus rapides, la poursuite du lancement du service mobile 4G LTE dans des marchés partout au Canada, les dépenses accrues visant la capacité du réseau afin de soutenir l'utilisation croissante de la bande passante pour les services Internet et la demande grandissante pour les services de données mobiles, et l'amélioration de nos systèmes de service à la clientèle.

RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BELL PAR SECTEUR

Services sans fil de Bell
Au cours du trimestre, la croissance des produits d'exploitation des Services sans fil a continué de s'accélérer, ayant augmenté de 9,6 % pour se chiffrer à 1 649 millions $, grâce à la hausse de 8,1 % des produits tirés des services totalisant 1 469 millions $. Cette croissance, qui résulte d'une proportion accrue d'abonnés des services postpayés dans notre clientèle et de la hausse du PMU combiné(4), est alimentée par une utilisation plus intensive des services de données mobiles sur des téléphones intelligents et des tarifs mensuels moyens plus élevés. Les produits tirés des services de données sans fil ont augmenté de 26 % au cours du trimestre et représentent maintenant environ la moitié du total des produits des Services sans fil de Bell. Les produits d'exploitation tirés des produits ont augmenté de 24,6 % pour s'établir à 167 millions $, en raison du nombre accru d'activations et de mises à niveau pour des téléphones intelligents haut de gamme par rapport à l'exercice précédent.

Le BAIIA ajusté des Services sans fil de Bell a augmenté de 10,6 % pour se chiffrer à 585 millions $ au T4 2014, ce qui s'est traduit par une augmentation de 0,9 point de pourcentage de la marge liée aux services, qui s'élève à 39,8 %. Ce résultat a été réalisé malgré l'augmentation combinée d'environ 40 millions $ d'un exercice à l'autre des coûts d'acquisition d'abonnés et des dépenses à l'égard de la fidélisation de la clientèle, ce qui a contribué à la croissance des coûts d'exploitation de 9,0 % ce trimestre.

Pour l'ensemble de l'exercice 2014, les produits d'exploitation des Services sans fil de Bell ont augmenté de 6,7 % pour s'établir à 6 241 millions $, les produits tirés des services progressant de 6,4 % pour s'établir à 5 705 millions $ et les produits d'exploitation tirés des produits progressant de 11,8 % pour s'établir à 483 millions $. Le BAIIA ajusté a crû de 9,6 % pour se chiffrer à 2 564 millions $, la marge liée aux services ayant augmenté de 1,3 point de pourcentage pour s'élever à 44,9 %, ce qui reflète l'effet marqué des produits tirés des services lié à l'augmentation du nombre d'abonnés des services postpayés et à l'approche rigoureuse en matière d'établissement des prix.

  • Les ajouts bruts d'abonnés des services postpayés ont totalisé 377 735 au T4, en hausse de 2,6 % par rapport à l'exercice précédent. Cette croissance reflète les ventes importantes réalisées au cours de la période des fêtes, la hausse du nombre d'activations dans l'Ouest canadien et l'augmentation des ventes de tablettes.
  • Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés se sont élevés à 117 378, comparativement à 119 520 au T4 2013, ce qui porte le nombre total d'abonnés des services postpayés à la fin de 2014 à 6 986 196, une hausse de 4,6 %. Au T4, le total des activations nettes d'abonnés des services postpayés dans le sans-fil de BCE s'est chiffré à 118 120, ce qui comprend les activités dans le sans-fil de Bell Aliant.
  • La clientèle totale des Services sans fil de Bell a augmenté de 2,5 %, pour s'établir à 7 970 702 abonnés. Les abonnés des services postpayés représentaient 88 % de ce total à la fin de 2014, comparativement à 86 % à l'exercice précédent. En incluant les abonnés de Bell Aliant, BCE compte maintenant 8 118 628 abonnés du sans-fil au total, une hausse de 2,4 % par rapport au T4 2013.
  • Le pourcentage des abonnés des services postpayés utilisant un téléphone intelligent a augmenté à 76 % à la fin de 2014, comparativement à 73 % à la fin de 2013.
  • Au T4 2014, le taux de désabonnement(4) des services postpayés est demeuré essentiellement inchangé à 1,30 %, comparativement à 1,29 % à l'exercice précédent, malgré l'activité promotionnelle saisonnière habituellement intense pendant le T4 2014.
  • Le PMU combiné(4) a augmenté de 5,5 % pour s'établir à 61,12 $ au T4, ce qui représente un vingtième trimestre consécutif d'amélioration d'un exercice à l'autre. Cette progression découle de l'utilisation accrue des services de données sur le réseau 4G LTE de Bell en expansion, la proportion des utilisateurs de téléphones intelligents continuant d'augmenter, et de l'incidence favorable des prix des contrats de deux ans lancés en 2013 dans la foulée de la mise en œuvre du code de conduite fédéral sur les services sans fil. Pour l'ensemble de l'exercice 2014, le PMU combiné a augmenté de 4,9 % pour s'établir à 60,07 $.
  • Au cours du trimestre, le coût d'acquisition(4) a augmenté de 6,2 %, à 497 $ par ajout brut, en raison de la proportion accrue d'abonnés des services postpayés et de la vente d'un plus grand nombre de téléphones intelligents haut de gamme par rapport à l'exercice précédent. Pour l'ensemble de l'exercice 2014, le coût d'acquisition a augmenté de 5,2 %, à 443 $ par ajout brut.
  • Les dépenses de fidélisation de la clientèle ont augmenté pour s'établir à 13,5 % des produits tirés des services sans fil au T4 2014, comparativement à 12,4 % à l'exercice précédent, ce qui reflète un nombre accru de mises à niveau hâtives de combinés pour des appareils haut de gamme. Conformément au plan, les dépenses de fidélisation de la clientèle pour l'ensemble de l'exercice 2014 se sont élevées à 11,0 % des produits tirés des services sans fil.
  • La zone de couverture du réseau 4G LTE a été étendue à 86 % de la population canadienne à la fin du T4 et devrait être élargie à plus de 98 % d'ici la fin de 2015, car Bell a l'intention de déployer son réseau LTE dans un plus grand nombre de petites villes et de collectivités rurales et dans le nord du Canada. Le réseau 4G LTE est complété par la couverture du réseau 4G HSPA+ rejoignant actuellement plus de 98 % de la population.
  • En janvier 2015, Bell a lancé les Passeports données Voyage qui offrent jusqu'à deux fois plus de données aux abonnés qui voyagent dans plus de 200 pays. Les passeports offrent 100 Mo d'utilisation de données pour aussi peu que 30 $, ce qui permet aux abonnés de Bell de profiter pleinement de leurs téléphones intelligents et de leurs services de données lorsqu'ils visitent le Mexique, le Royaume-Uni et la Chine, entre autres.

Services sur fil de Bell
Au T4 2014, les produits d'exploitation des Services sur fil de Bell ont augmenté de 1,0 %, à 2 628 millions $, leur première croissance trimestrielle positive depuis le T2 2010. Cette progression est attribuable au maintien de la forte croissance des services résidentiels, notamment aux ajouts nets d'abonnés totaux positifs découlant de l'acquisition d'un nombre considérable d'abonnés des services Internet à large bande et Télé Fibe au cours du trimestre, au ralentissement du rythme de diminution des produits tirés des services voix et à une meilleure performance d'un exercice à l'autre des produits tirés de l'unité Marchés Affaires grâce à l'augmentation des ventes de solutions d'affaires et d'équipements de transmission de données.

En raison de l'orientation accrue sur les services de croissance, de l'amélioration des résultats de l'unité Marchés Affaires et du contrôle rigoureux exercé sur les coûts d'exploitation, le BAIIA ajusté des Services sur fil de Bell a augmenté de 2,0 %, à 953 millions $ au T4, ce qui a permis une amélioration de 40 points de base de la marge qui s'est élevée à 36,3 %.

En particulier, le T4 2014 représente le premier trimestre, depuis le lancement de la téléphonie par câble en 2005, au cours duquel les Services sur fil de Bell génèrent une croissance globale positive des produits et du BAIIA ajusté ainsi que des ajouts nets d'abonnés résidentiels totaux positifs.

Pour l'ensemble de l'exercice 2014, les produits d'exploitation des Services sur fil de Bell ont diminué de 0,6 %, s'établissant à 10 040 millions $, tandis que les coûts d'exploitation ont diminué de 0,5 %, s'élevant à 6 272 millions $, ce qui s'est traduit par une diminution de 0,7 % du BAIIA ajusté des Services sur fil, qui s'est établi à 3 768 millions $. La marge du BAIIA ajusté liée aux Services sur fil est demeurée stable à 37,5 %, comparativement à 37,6 % en 2013, malgré le recul continu des produits tirés des services voix, générant des marges élevées, au profit des services de croissance qui génèrent une marge moindre.

  • Le total des activations nettes d'abonnés résidentiels de Bell a augmenté et est passé de 11 451 à 23 917 au T4 2014, comparativement à une perte nette de 12 466 enregistrée à l'exercice précédent, ce qui reflète la forte croissance de la clientèle d'abonnés des services Internet et l'adoption accrue du service Télé Fibe qui a elle aussi fait augmenter les activations des SAR résidentiels et a renforcé la fidélisation. En incluant les services résidentiels sur fil de Bell Aliant, le total des activations nettes d'abonnés résidentiels de BCE au T4 s'est élevé à 22 741, soit une hausse comparativement à une perte nette de 20 043 à l'exercice précédent.
  • Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse de Bell se sont élevés à 34 126 au T4 2014, soit plus du double des 15 690 abonnés ajoutés au T4 2013. L'augmentation d'un exercice à l'autre reflète la hausse continue des ventes complémentaires de services Internet sur les forfaits incluant le service Télé Fibe et l'augmentation des vitesses de transmission et la fiabilité accrue du réseau de fibre à large bande de Bell. En incluant Bell Aliant, le total des activations nettes d'abonnés des services Internet de BCE au T4 s'est établi à 52 010, en hausse de 29 141 par rapport à l'exercice précédent.
  • Le service Bell Télé Fibe a ajouté 58 371 nouveaux abonnés nets au cours du trimestre, comparativement à 60 301 à l'exercice précédent. Le total des ajouts nets du service de télé IP de BCE au T4 2014 a été de 76 074, en hausse par rapport à 75 120 au T4 2013. À la fin de 2014, BCE comptait 933 547 abonnés du service de télé IP, soit une hausse de 42,0 % par rapport à la fin de 2013.
  • La zone de couverture du service Bell Télé Fibe rejoignait plus de 5 millions de foyers à la fin de 2014, comparativement à environ 4,3 millions à la fin de 2013. En incluant la zone du service FibreOP de Bell Aliant, la zone de couverture totale du service de télé IP de BCE s'étend maintenant à 6 millions de foyers, en hausse par rapport à 5,1 millions à la fin de 2013.
  • Bell comptait 2 287 489 abonnés d'Internet haute vitesse à la fin de 2014, soit une hausse de 4,7 % par rapport à 2013. En incluant Bell Aliant, BCE comptait 3 297 026 abonnés d'Internet haute vitesse, soit une hausse de 5,1 % par rapport à l'exercice précédent.
  • Les pertes nettes d'abonnés du service Télé Satellite ont augmenté pour s'établir à 33 934 au T4 2014, contre 24 112 à l'exercice précédent. Ces pertes s'expliquent par le nombre moindre d'activations du service de détail résultant des offres accrocheuses de services de câblodistribution dans les zones desservies par Bell où le service Télé Fibe n'est pas offert, ainsi que par le nombre moindre d'activations du service de gros imputable au déploiement plus étendu du service de télé IP par des fournisseurs concurrents dans l'Ouest canadien et dans le Canada atlantique.
  • Le nombre d'abonnés de Bell Télé (Bell Télé Satellite et Bell Télé Fibe) totalisait 2 376 885 à la fin de 2014, une augmentation de 4,3 % par rapport à 2013. En incluant Bell Aliant, BCE compte maintenant 2 642 608 abonnés des services de télé, soit une hausse de 6,2 %.
  • Au T4 2014, les produits tirés des services de données sur fil ont augmenté de 4,0 % pour s'établir à 1 573 millions $, ce qui résulte de la croissance combinée de 5,1 % des produits tirés des services Internet et de télé, de la croissance des services de connectivité à large bande IP et des solutions d'affaires d'environ 3 % et 10 %, respectivement, et de l'augmentation des ventes d'équipements de transmission de données à des clients d'affaires.
  • Au T4 2014, les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels ont diminué de 36,5 % pour s'établir à 40 178, comparativement à 63 281 au T4 2013, ce qui reflète l'effet marqué des forfaits de services Télé Fibe ainsi que la fidélisation accrue de la clientèle dans les zones où le service de télé IP est offert. En incluant Bell Aliant, le total des pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels de BCE s'est chiffré à 58 870 au T4, en baisse de 35,7 % par rapport à l'exercice précédent.
  • Les pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR ont diminué de 18,3 % au T4 2014, ou de 26 527, comparativement à des pertes de 32 478 au T4 2013, en raison du nombre moindre de désactivations d'abonnés. En incluant Bell Aliant, le total des pertes nettes d'abonnés d'affaires des SAR de BCE s'est élevé à 34 135 au T4, en baisse de 8 988 par rapport au T4 2013.
  • La clientèle totale des lignes d'accès aux SAR à la fin de 2014 était de 4 893 236, soit une baisse de 6,7 % par rapport à l'exercice précédent. En incluant Bell Aliant, le nombre total d'abonnés des SAR de BCE est maintenant de 7 130 852, soit une baisse de 6,1 %.
  • Concordant avec la diminution d'un exercice à l'autre des pertes nettes au chapitre des SAR au T4 2014, le rythme de diminution des produits tirés des services locaux et d'accès a ralenti de 4,6 % pour se chiffrer à 578 millions $.
  • Au T4 2014, les produits tirés des services interurbains ont augmenté de 1,2 %, à 173 millions $, grâce à l'augmentation d'un exercice à l'autre des ventes de minutes de conversations interurbaines internationales.

Bell Média
Les produits d'exploitation de Bell Média ont diminué de 3,9 % au cours du trimestre pour s'établir à 789 millions $. La baisse est imputable à des frais d'abonnement et à des produits tirés des droits pour la retransmission rétroactifs de 20 millions $ qui ne se sont pas répétés au T4 2014, ainsi qu'à la perte des produits tirés des services qui ont cessé leurs activités en 2014 (signaux régionaux liés au hockey et Viewers Choice). Au T4 2014, les produits tirés de la publicité ont légèrement augmenté par rapport à l'exercice précédent grâce à TSN et à RDS, les points forts de la programmation de Bell Média et les meilleures chaînes de services spécialisés dans les sports du secteur, et à la croissance de l'auditoire des chaînes spécialisées dans l'information, ce qui a compensé la baisse des ventes de publicité liée à la télé traditionnelle.

Au T4, le BAIIA ajusté de Bell Média a diminué de 16,5 % pour se chiffrer à 192 millions $, comparativement à 230 millions $ à l'exercice précédent, ce qui résulte de l'augmentation des coûts du contenu télé pour les droits de diffusion dans les sports, du lancement de CraveTV et de l'effet marqué des produits de 20 millions $ enregistrés au T4 2013 qui ne se sont pas répétés au T4 2014.

Pour l'ensemble de l'exercice 2014, les produits d'exploitation ont augmenté de 14,9 % pour s'établir à 2 937 millions $ et le BAIIA ajusté a crû de 7,5 % pour s'élever à 734 millions $, ce qui reflète l'apport plus élevé de l'acquisition d'Astral Media aux produits tirés de la publicité et des frais d'abonnement au cours de la première moitié de l'exercice.

  • Pour la saison d'automne, CTV est demeuré le premier réseau de télé traditionnelle du Canada dans toutes les principales catégories démographiques, comptant 14 des 20 émissions les plus écoutées par les téléspectateurs à l'échelle nationale ainsi que les 4 émissions les plus écoutées chez les téléspectateurs dans la tranche des 25 à 54 ans (The Big Bang Theory, The Flash, Gotham et Marvel's Agents of S.H.I.E.L.D.). À l'automne, l'auditoire de CTV a augmenté de 9 %, ce qui accentue sa longueur d'avance sur les concurrents dans les services de télé traditionnelle et représente ses meilleures cotes d'écoute quotidiennes moyennes en plus de 10 ans.
  • Dans ses propriétés de télé spécialisée et de télé payante, Bell Média a rejoint 83 % de l'ensemble des téléspectateurs canadiens de la télé spécialisée et de la télé payante anglophone d'une semaine moyenne au cours du T4 2014. Aux heures de grande écoute, chez les téléspectateurs de la principale catégorie démographique de l'auditoire composée des 25 à 54 ans, TSN et Discovery étaient en tête, pour la télé spécialisée dans les sports et le divertissement, et The Movie Network (TMN), pour la télé payante.
  • TSN, le chef de file des sports au Canada et le réseau de télé spécialisée numéro un au pays, a procédé à l'expansion à 5 signaux nationaux et offre une vaste et prestigieuse programmation de sports, diffusant notamment la Coupe Grey 2014 de la LCF, les matchs de football de la NFL, dont les cotes d'écoute ont augmenté grâce à un horaire de radiodiffusion plus étendu, et les programmations de télé spécialisée et de hockey qui se sont classées au premier rang au T4, soit le championnat mondial de hockey junior.
  • La finale du Championnat mondial junior de l'IIHF a battu le record d'audience de l'histoire de la télé spécialisée canadienne, le nombre de téléspectateurs ayant atteint 7,1 millions.
  • Bell Média a conservé sa position de leader au Québec, ses propriétés ayant rejoint hebdomadairement une moyenne de 83 % de la population francophone. Les cinq chaînes de télé spécialisée les plus populaires au Québec chez les téléspectateurs dans la tranche des 25 à 54 ans, ont été RDS, Canal D, Canal Vie, Z et Super Écran, toutes des propriétés de Bell Média.
  • Bell Média a devancé ses concurrents canadiens pour ce qui est des visiteurs uniques, des vidéospectateurs, des pages consultées totales, des visites et des vidéos regardées; la moyenne mensuelle s'établissant à 16,6 millions de visiteurs, 3,5 millions de vidéospectateurs, 519 millions de pages consultées, 127 millions de visites et 87 millions de vidéos, respectivement.
  • Bell Média est demeurée le premier radiodiffuseur au Canada, le nombre d'auditeurs ayant atteint 17,4 millions, lesquels ont écouté, au total chaque semaine, 84 millions d'heures au cours du T4 2014.
  • Le 11 décembre 2014, Bell Média a lancé CraveTV, son nouveau service de télé sur demande. Proposant la plus vaste collection de contenu de choix au même endroit, dont des milliers d'heures de programmation et environ 350 titres uniques de séries et de films populaires, CraveTV est maintenant distribué par Bell Télé, Bell Aliant, Eastlink, Northwestel et TELUS.
  • Le 29 janvier 2015, Bell Média et CBS Corp. ont annoncé la conclusion d'une entente à long terme pour les licences de contenu et les marques de commerce de la chaîne SHOWTIME au Canada. Cette entente exclusive permettra d'offrir la marque SHOWTIME au Canada pour la première fois, et de proposer des centaines d'heures de programmation de SHOWTIME, passée, actuelle et future, sur toutes les plateformes anglophones et francophones, y compris le service CraveTV de Bell Média et son service de télé payante de premier plan, TMN. CraveTV et TMN proposeront en exclusivité au Canada la programmation originale de SHOWTIME ainsi que la totalité de son catalogue de séries scénarisées ou non, de documentaires, d'émissions spéciales et de films.

BELL ALIANT
Les produits des activités ordinaires de Bell Aliant ont augmenté de 1,7 % au T4 2014 pour s'établir à 700 millions $, comparativement à 688 millions $ à l'exercice précédent, la croissance des produits tirés des services Internet, de télé et autres services de données et sans fil ayant surpassé la baisse des produits tirés des services locaux, des services interurbains et d'autres produits. Malgré la hausse d'un exercice à l'autre des produits d'exploitation, le BAIIA ajusté de Bell Aliant a diminué de 4,3 % ce trimestre, pour s'établir à 292 millions $, comparativement à 305 millions $ au T4 2013, ce qui reflète l'augmentation des coûts d'exploitation découlant de la croissance de ses services FibreOP et de sa clientèle.

Bell Aliant a continué d'étendre son réseau fibre jusqu'au domicile (réseau FTTH) au T4, ajoutant 56 000 foyers et entreprises à la zone desservie par les services FibreOP, ce qui porte à environ 1 017 000 le nombre d'emplacements dans la zone de couverture totale du réseau FTTH, dans plus de 89 collectivités du Canada atlantique, du Québec et de l'Ontario.

En raison de la privatisation de Bell Aliant réalisée le 1er novembre 2014, Bell Aliant ne sera plus un secteur d'exploitation à présenter, à compter du T1 2015 de BCE. Ses résultats d'exploitation seront intégrés dans les secteurs des Services sur fil de Bell ou des Services sans fil de Bell, selon le cas.

DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de 0,65 $ par action ordinaire, payable le 15 avril 2015 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 16 mars 2015.

PERSPECTIVES POUR 2015
Les perspectives de BCE pour 2015 reposent sur l'élan du sans-fil et du sur-fil que nous avons soutenu en 2014 et reflètent les progrès continus dans la réalisation de nos 6 impératifs stratégiques.

Les objectifs de notre orientation financière pour 2015 tiennent tous compte du maintien du haut niveau de rentabilité prévu des Services sans fil, de la croissance accrue des Services sur fil et de la privatisation de Bell Aliant, et prévoient que le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles constitueront une base solide et stable pour la hausse de 5,3 % du dividende sur actions ordinaires de BCE en 2015.

Notre orientation pour 2014, nos résultats de 2014 ainsi que nos objectifs de l'orientation financière pour 2015 sont les suivants :

  Orientation
pour 2014
Résultats
de 2014
Orientation
pour 2015
BCE      
Croissance des produits des activités ordinaires(i) 2 % à 4 % 3,5 % 1 % à 3 %
Croissance du BAIIA ajusté(i) 3 % à 5 % 3,7 % 2 % à 4 %
Intensité du capital(i), (4) 16 % à 17 % 16,8 % environ 17 %
BPA ajusté 3,10 $ à 3,20 $ 3,18 $ 3,28 $ à 3,38 $
Croissance des flux de trésorerie disponibles(ii) 3 % à 7 % 6,7 % environ 8 % à 15 %
Dividende annuel par action ordinaire 2,47 $ 2,47 $ 2,60 $
Politique de distribution du dividende 65 % à 75 %
des flux de trésorerie
disponibles
69 %
des flux de trésorerie
disponibles
65 % à 75 %
des flux de trésorerie
disponibles

(i)     Les résultats et l'orientation financière pour 2014 concernant la croissance des produits des activités ordinaires, la croissance du BAIIA ajusté et l'intensité du capital excluent Bell Aliant.
(ii)     Au 1er novembre 2014, les flux de trésorerie disponibles de BCE incluaient la totalité des flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant, plutôt que les dividendes en espèces reçus de Bell Aliant.

TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des analystes financiers afin de traiter de ses résultats du T4 2014, le jeudi 5 février, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Veuillez composer le numéro sans frais 1-800-355-4959 ou le 416-340-2218. Une reprise sera disponible pendant une semaine, au 1-800-408-3053 ou au 905-694-9451 (composez le code d'identification 5323218#).

La téléconférence sera archivée sur le site Web de BCE sous : Téléconférence du T4 2014 de BCE. Le fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette page, peu de temps après la conférence.

NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non auditée.

(1) À partir du T2 2014, nous désignons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté comme des mesures financières non définies par les PCGR. Ces termes remplacent les mesures financières non définies par les PCGR auparavant désignées par les termes BAIIA et marge du BAIIA. Notre définition de BAIIA ajusté et de marge du BAIIA ajusté est inchangée par rapport à notre définition antérieure du BAIIA et de la marge du BAIIA, respectivement. Par conséquent, cette modification terminologique n'a aucune incidence sur la présentation de nos résultats financiers des périodes antérieures. Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il est présenté dans les comptes consolidés de résultat de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE correspond au bénéfice sectoriel présenté dans les états financiers consolidés de BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté comme le BAIIA ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous utilisons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer le rendement de nos activités puisqu'ils reflètent leur rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des télécommunications. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent également le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer le rendement de nos activités. Le BAIIA ajusté est également un facteur dans la détermination de la rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière selon les IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et à la marge du BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA ajusté.

(en millions de dollars)                
    T4 2014   T4 2013   2014   2013
Bénéfice net   594   593   2 718   2 388
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres   58   48   216   406
Amortissement des immobilisations corporelles   734   695   2 880   2 734
Amortissement des immobilisations incorporelles   118   160   572   646
Charges financières                
  Charge d'intérêts   238   240   929   931
  Intérêts liés aux obligations au titre des avantages postérieurs à l'emploi   25   37   101   150
Autres charges (produits)   34   (1)   (42)   6
Impôt sur le résultat   221   226   929   828
BAIIA ajusté   2 022   1 998   8 303   8 089
  Produits d'exploitation de BCE   5 528   5 382   21 042   20 400
Marge du BAIIA ajusté   36,6%   37,1%   39,5%   39,7%

(2) Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes nettes sur placements et les coûts liés au remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté et nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer le rendement de nos activités, avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des (profits nets) pertes nettes sur placements et des coûts liés au remboursement anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et le BPA sont les mesures financières selon les IFRS les plus comparables. Le tableau ci-après présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement.

(en millions de dollars, sauf les montants par action)                
  T4 2014 T4 2013 2014 2013
  Total Par
action
Total Par
action
Total Par
action
Total Par
action
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires 542 0,64 495 0,64 2 363 2,98 1 975 2,55
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres 42 0,04 33 0,04 148 0,18 299 0,38
Pertes nettes (profits nets) sur placements 8 0,01 12 0,02 (8) (0,01) 7 0,01
Primes au remboursement anticipé de la dette 18 0,03 - - 21 0,03 36 0,05
Bénéfice net ajusté 610 0,72 540 0,70 2 524 3,18 2 317 2,99

(3)


Les termes flux de trésorerie disponibles et flux de trésorerie disponibles par action n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Au 1er novembre 2014, les flux de trésorerie disponibles de BCE incluaient la totalité des flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant, plutôt que les dividendes en espèces reçus de Bell Aliant. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées et les dividendes payés par des filiales aux détenteurs de PNDPC.

Avant le 1er novembre 2014, nous définissions les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, plus les dividendes reçus de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes payés par des filiales aux détenteurs de PNDPC et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant.

Nous définissons les flux de trésorerie disponibles par action comme les flux de trésorerie disponibles divisés par le nombre moyen d'actions ordinaires en circulation.

Nous considérons les flux de trésorerie disponibles et les flux de trésorerie disponibles par action comme d'importants indicateurs de la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour payer des dividendes, rembourser la dette et réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent également les flux de trésorerie disponibles et les flux de trésorerie disponibles par action pour évaluer la solidité financière et le rendement de nos activités. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, sur une base consolidée.

(en millions de dollars, sauf les montants par action)        
  T4 2014 T4 2013 2014 2013
Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation 1 527 1 838 6 241 6 476
Dividendes de Bell Aliant payés à BCE - 48 95 191
Dépenses d'investissement (1 076) (1 139) (3 717) (3 571)
Dividendes en espèces payés sur actions privilégiées (40) (31) (134) (127)
Dividendes en espèces payés par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle (1) (68) (145) (283)
Coûts liés aux acquisitions payés 68 30 131 80
Cotisation volontaire au régime de retraite à prestations définies 350 - 350 -
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant 5 (4) (77) (195)
Flux de trésorerie disponibles 833 674 2 744 2 571
  Nombre moyen d'actions ordinaires en circulation 837,7 775,9 793,7 775,8
Flux de trésorerie disponibles par action 1,01 0,86 3,46 3,31

(4) Nous utilisons le PMU, le taux de désabonnement, le coût d'acquisition, l'intensité du capital et le ratio de distribution pour évaluer les progrès accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs de performance clés ne sont pas des mesures comptables et pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Se reporter à la section 8.2, Mesures financières non définies par les PCGR et indicateurs de performance clés du rapport de gestion du T3 2014 de BCE pour obtenir une définition de ces indicateurs de performance clés.

MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre orientation financière pour 2015 (ce qui comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), nos perspectives commerciales, nos objectifs, nos plans et nos priorités stratégiques, le dividende par action ordinaire annualisé et la politique de dividendes sur actions ordinaires de BCE pour 2015, nos plans de déploiement pour les réseaux, l'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée de GLENTEL par BCE et la cession subséquente d'une participation de 50 % dans GLENTEL à Rogers, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques. Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, plan, stratégie, cible et d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser, s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier, chercher à et aspirer à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites conformément aux dispositions refuges prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act de 1995.

Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs hypothèses, tant générales que spécifiques, donnant lieu à la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date du 5 février 2015 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 5 février 2015. L'incidence financière de ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont présentées dans le présent communiqué dans le but d'aider les investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats financiers prévus pour 2015, ainsi que nos objectifs, nos priorités stratégiques et nos perspectives commerciales pour 2015, et à mieux comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.

Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations prospectives pour 2015 contenues dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :

Hypothèses relatives à l'économie et au marché canadiens

  • un ralentissement de la croissance économique, basé sur l'estimation de la Banque du Canada de la croissance du PIB du Canada d'environ 2,1 % pour 2015, comparativement à une croissance estimative de 2,3 % en 2014;
  • une croissance des niveaux d'emploi plus faible que celle de 2014, car le niveau d'investissements des entreprises devrait demeurer peu élevé globalement;
  • des taux d'intérêt demeurant essentiellement inchangés en 2015 ou une légère baisse d'un exercice à l'autre;
  • le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel et le marché d'affaires des services sur fil et sans fil;
  • une hausse du taux de pénétration, à un rythme toutefois moins rapide, du marché du sans-fil et l'adoption plus généralisée des téléphones intelligents;
  • une approche rigoureuse en matière d'établissement des prix dans le secteur, malgré le niveau d'activité inhabituel sur le marché que pourrait entraîner la possible expiration des contrats de service de trois ans conclus avant l'entrée en vigueur du code de conduite sur les services sans fil et des nouveaux contrats de deux ans, ce qui aurait pour effet de faire augmenter le nombre de contrats expirés et les volumes de transactions, si la date d'application du Code sur les services sans fil du CRTC, fixée au 3 juin 2015, est jugée comme étant valide;
  • un marché publicitaire relativement stable dans le secteur des médias et des coûts croissants pour obtenir de la programmation télé.

Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de Bell

  • l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés et à la fidélisation de la clientèle, en raison d'un nombre plus élevé d'ajouts bruts et de mises à niveau des appareils d'un exercice à l'autre;
  • une croissance du PMU combiné et du BAIIA ajusté supérieure à la moyenne au sein de l'industrie, stimulée par une proportion accrue de la clientèle des services postpayés utilisant des téléphones intelligents, une consommation croissante des services de données sur le réseau 4G LTE et la hausse des tarifs d'accès pour les nouveaux contrats de deux ans;
  • l'achèvement du réseau LTE qui devrait couvrir 98 % de la population canadienne;
  • l'absence d'incidence importante de nature financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la réglementation sur nos activités dans le sans-fil.

Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de Bell

  • une croissance positive des produits tirés des activités ordinaires et du BAIIA ajusté pour l'ensemble de l'exercice;
  • l'apport du service de télé IP à l'augmentation de la part de marché des services de télé et du service Internet à large bande, et à une baisse des pertes au chapitre des SAR résidentiels malgré l'accentuation de la substitution par le sans-fil, permettant la diminution du total des pertes nettes d'abonnés des services résidentiels sur fil d'un exercice à l'autre et une pénétration accrue des trois produits par foyer;
  • la croissance du PMU des services résidentiels générée par l'adoption croissante des trois produits par foyer, l'expiration des promotions et l'augmentation des tarifs;
  • la poursuite de la migration de grandes entreprises clientes vers les systèmes IP et les pressions de la concurrence visant à modifier les prix dans les marchés d'affaires et de gros;
  • l'amélioration du rythme de la diminution des produits et du BAIIA ajusté de l'unité Marchés Affaires d'un exercice à l'autre;
  • l'utilisation des technologies FTTH et FTTP dans le cadre de la majorité des nouveaux déploiements de la fibre à large bande;
  • l'absence d'incidence importante de nature financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la réglementation sur nos activités dans le sur-fil.

Hypothèses concernant notre secteur Bell Média

  • une diminution du BAIIA ajusté et de la marge d'un exercice à l'autre découlant de l'augmentation des coûts pour les droits de diffusion dans les sports et le contenu de la télé spécialisée, de l'investissement lié à CraveTV, de la hausse des dépenses relatives à la réglementation liée au contenu canadien, de l'échéance de certains avantages imposés par le CRTC et de la clôture du Fonds pour l'amélioration de la programmation locale;
  • la capacité de procéder à des acquisitions fructueuses d'émissions à cotes d'écoute élevées et de contenu différencié;
  • l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques quant à l'approvisionnement en contenu sur les quatre écrans;
  • le soutien, de façon efficiente, d'une adoption généralisée de CraveTV;
  • une baisse modérée du nombre d'abonnés pour de nombreuses propriétés de télé du secteur Bell Média entraînée par le dégroupement des chaînes de télé et la popularité grandissante du visionnement de contenu par contournement;
  • l'absence d'incidence importante de nature financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la réglementation sur nos activités dans les médias.

Hypothèses financières concernant BCE

La section qui suit présente les principales hypothèses financières de BCE pour 2015 :

  • un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi de Bell qui devrait s'établir à environ 370 millions $, selon un taux d'actualisation comptable estimatif de 4 %, qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA ajusté d'environ 260 millions $ et d'une charge financière nette estimative au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi inférieure au BAIIA ajusté d'environ 110 millions $;
  • une dotation aux amortissements d'environ 3 425 millions $;
  • une charge d'intérêts nette d'environ 970 millions $;
  • des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,02 $;
  • un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
  • une participation ne donnant pas le contrôle d'environ 50 millions $;
  • des besoins de capitalisation des régimes de retraite totalisant environ 400 millions $;
  • des impôts en espèces d'environ 750 millions $;
  • des versements d'intérêts nets d'environ 925 millions $;
  • une évolution du fonds de roulement, des coûts liés aux indemnités de départ et autres d'environ 125 millions $ à 225 millions $;
  • un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE d'environ 845 millions;
  • un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,60 $ par action.

Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été considérées comme raisonnables par BCE le 5 février 2015, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer de façon importante de nos attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.

Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris notre orientation financière pour 2015, sont énumérés ci-dessous. La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation financière pour 2015, dépend essentiellement du rendement de notre entreprise qui, à son tour, est assujetti à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait que tous les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :

  • Les initiatives et les procédures réglementaires, les consultations gouvernementales et les positions gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités;
  • L'intensité de l'activité de nos concurrents, ainsi que l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients actuels et à en attirer de nouveaux, de même que sur nos stratégies d'établissement des prix, sur nos résultats financiers et sur nos données opérationnelles;
  • Le rythme de substitution technologique et la présence d'autres fournisseurs de services, qui contribuent à réduire l'utilisation des services sur fil traditionnels;
  • L'incidence défavorable des nouvelles technologies et de la fragmentation accrue au sein du marché de la distribution des services de télé de Bell Télé et des marchés de Bell Média;
  • L'augmentation des coûts de la programmation et l'incapacité de Bell Média à obtenir du contenu de premier plan;
  • La variabilité des coûts d'acquisition d'abonnés et de fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre d'acquisitions d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de téléphones intelligents et des rabais sur les combinés;
  • La conjoncture économique et les conditions du marché des capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs, la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de ceux-ci;
  • La dépendance considérable de Bell Média à l'égard d'une demande continue en publicité et l'incidence négative possible sur celle-ci des conditions économiques, ainsi que de la part d'audience et des cotes d'écoute;
  • Notre capacité à protéger nos réseaux, nos systèmes, nos applications, nos centres de données, nos dossiers électroniques et physiques, ainsi que les renseignements qu'ils contiennent, contre les cyberattaques, l'accès ou l'entrée non autorisé, les dommages causés par les incendies, les catastrophes naturelles et d'autres événements;
  • La complexité de notre gamme de produits, de nos plans tarifaires, de nos promotions, de nos plateformes technologiques et de nos systèmes de facturation;
  • Notre incapacité à répondre aux attentes des clients et à élaborer un modèle de prestation de services simple et rapide;
  • Notre incapacité à mener les activités liées à l'évolution de notre réseau et à respecter les échéanciers pour la mise à niveau et le déploiement du réseau conformément à nos objectifs en matière d'intensité du capital;
  • Notre incapacité à supprimer certains services dans la mesure nécessaire pour améliorer la productivité du capital et l'efficience opérationnelle;
  • Notre incapacité à prévoir les changements technologiques et à nous y adapter, à mettre à niveau nos réseaux et à offrir rapidement de nouveaux produits et services;
  • Notre incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir, en temps opportun, des systèmes de TI efficaces, ainsi que la complexité de notre environnement TI et les coûts qui s'y rapportent;
  • Notre incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale de notre réseau, étant donné une augmentation importante de la demande pour les services à large bande et du volume du trafic des services de données sans fil;
  • Le maintien en poste des employés ainsi que leur rendement, et les interruptions de travail;
  • La volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi;
  • Les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de notre équipement et de nos autres installations, ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les maintenir et à les remplacer;
  • Les risques en orbite liés aux satellites utilisés par Bell Télé;
  • Les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers fournisseurs à nous fournir des produits et des services essentiels et notre capacité à acheter de tels produits et services;
  • La qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des défauts de fabrication;
  • Un règlement défavorable des litiges, en particulier, des recours collectifs;
  • Des modifications défavorables aux lois applicables;
  • Les niveaux des dépenses d'investissement et autres, les exigences liées au financement et à la dette et notre incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités et mettre en œuvre notre plan d'affaires, de même que notre incapacité à gérer les différents risques de crédit, de liquidité et de marché;
  • Une gestion inefficace du changement découlant de réorganisations et d'autres initiatives de la société ainsi que notre incapacité à intégrer avec succès les entreprises acquises et les unités d'affaires existantes;
  • Notre incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
  • La violation des droits d'auteur et l'utilisation non autorisée de notre contenu;
  • Le vol de nos services de télé par SRD;
  • Notre incapacité à réaliser nos impératifs stratégiques ainsi que nos plans de développement des affaires afin de produire les avantages attendus, y compris la poursuite de la mise en œuvre de nos initiatives de réduction des coûts visées, et à élaborer une stratégie d'affaires rentable;
  • Des impôts plus élevés découlant de nouveaux impôts, de la majoration des taux d'imposition ou de modifications apportées aux lois fiscales, et notre incapacité à prévoir l'issue des audits gouvernementaux;
  • Les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils de communication sans fil;
  • Notre incapacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des pandémies et d'autres risques liés à la santé survenaient;
  • Notre incapacité à comprendre les changements climatiques et les attentes du public pour ce qui est des questions environnementales, et à y répondre adéquatement;
  • La dépendance de BCE quant à la capacité de ses filiales, de ses partenariats et des autres entités dans lesquelles elle détient une participation de lui payer des dividendes ou de lui faire toute autre distribution;
  • L'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de dividendes de BCE sera maintenue;
  • La volatilité des marchés boursiers;
  • L'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée de GLENTEL et de la cession subséquente d'une participation de 50 % à Rogers, qui sont assujettis à des conditions de clôture ainsi qu'à d'autres risques et incertitudes et pour lesquels rien ne garantit que les avantages anticipés seront réalisés.

Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous encourageons les investisseurs à lire également l'Avis concernant les déclarations prospectives de BCE, daté du 5 février 2015, pour obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, ce document étant déposé par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières (disponible au Sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponible au SEC.gov. Ce document est également disponible au BCE.ca.

L'Avis concernant les déclarations prospectives de BCE, daté du 5 février 2015, est intégré par renvoi dans le présent communiqué de presse.

Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter la présentation intitulée Téléconférence sur les résultats du T4 2014 et l'orientation financière 2015, datée du 5 février 2015, disponible sur le site Web de BCE.

À PROPOS DE BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et fournit un ensemble complet et novateur de services de communications à large bande à ses clients résidentiels et d'affaires, sous les marques Bell Canada et Bell Aliant. Bell Média est la première entreprise canadienne de multimédias. Elle possède des actifs dans les secteurs de la télévision, de la radio, de l'affichage extérieur et des médias numériques, y compris CTV, premier réseau de télévision du Canada, et les chaînes spécialisées les plus regardées au pays. Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca.

L'initiative de Bell « Bell Cause pour la cause » est dédiée à la promotion de la santé mentale au Canada, à la sensibilisation à l'échelle nationale par l'intermédiaire de campagnes de lutte contre la stigmatisation, comme le Grand Tour de Clara pour Bell Cause pour la cause et la Journée Bell Cause pour la cause, et au financement important fourni par Bell pour l'accès aux soins communautaires, la recherche et les initiatives au travail. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.

 

SOURCE BCE INC.


Questions des médias :

Jean Charles Robillard
Communications, Bell
514 870-4739
jean_charles.robillard@bell.ca

Questions des investisseurs :

Thane Fotopoulos
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514 870-4619
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